AUTEURS L'ensemencement EL Inachevée
L'ENSEMENCEMENT D'UN LUXE DE MUSÉE
QUI MASQUE L'ESSENTIEL
L'ENSEMENCEMENT D'UN LUXE DE MUSÉE QUI MASQUE L'ESSENTIEL
L'ENSEMENCEMENT D'UN LUXE DE MUSÉE QUI MASQUE L'ESSENTIEL
RAIMUND HOGHE AN EVENING WITH RAIMUND ORNELLA BALESTRA
RAIMUND HOGHE LUCA GIACOMO SCHULTE PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT
MARION BALLESTER EMMANUEL EGGERMONT PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT
L'ENFANCE SARAH MOON RAPHAËLLE ROUSSEAU
OLIVIER DUBOIS DORÉ DIMITRI
JONATHAN CAPDEVIELLE GISELLE VIENNE
C'EST JUSTE UN INSTANT UNIQUE. FASCINANT. Précisément une fureur de vivre. Une fiction de crimes maléfiques exécutés par le sérial killer Américain Dean Corll. D’après une nouvelle de Dennis Cooper. Si vous aviez l'imprudence d'être ASSIS DANS LA CADILLAC DE PAPA s’écrie Jonathan Capdevielle. Gisèle Vienne nous fait entrer dans l’univers étrange et inquiétant de ces fragments de corps désaffectés décrit avec justesse, pudeur, respect et vérité sur fond de revirement de détresse et de défi. Un inventaire ultime de ces crimes partagés avec ses amis d'adolescence - David Brooks et Wayne Henley. laisse retentir la vie de ces instants liés à l’intimité entre sanctuaire et l’attraction d’un mirage improbable. Il faudrait reconstituer la vérité d’un visage car celui-ci porte la plus subtile manifestation d’une vie offerte. Espaces encombrés chaotiques comme un souvenir partagé Impossible de se perdre et de s’échapper sur l’importance que revêt le désir d'y croire et l'admiration d'un monde si parallèle en quête d’une beauté SUBLIMÉ. Il serait judicieux de vous défiler quelques secondes de cette Fuite noire. Chaque geste est mesuré, Jonathan dévoile, capture et rapproche l’effigie de ses marionnettes d'une voix ventriloque qui ouvre la brèche et le reflet qu'offre le miroir d'un thriller... Pas vraiment un suicide mais comme un faux-pas. Une dérive qui naît dans la peau de l’autre. Et c'est à ce moment-là que la frontière n’est pas si éloignée d’une blessure rêvée. Laissez-vous engloutir vers cette liberté provisoire et invraisemblable. Sauf que... ©CR Avril 2011 JERK GISÈLE VIENNE JONATHAN CAPDEVIELLE
OIERRE PAILO PASOLINI BLACKVELVETFROM PARRIS
À L'ÉCART D'UN CABARET CHEZ ZEZETTE SUR UN NOIR DÉMESURÉ Peut-être entendrez-vous parfois le Maitre de maison chanter derrière les grilles ouvertes... ©CR 21 Mars 2023 BLACKVELVETFROM PARRIS DEBBY D’AL KHÔL
DAVID NOIR THÉO HARFOUSH llel Elil PABLO CANO
L’envol d’une étoile qui ne s’éteint qu’avec l’aube. Touchée par le son d’un violoncelle qui scrute le vide sur ce plateau fragile. Premier rivage d’un vertige qui souffle à la surface du sable la nuit sur l’éternité pliée. Regarde l’écho sur la réverbération t’invite sur le souffle du sable et quelques notes futuristes pour émerveiller le vide de tout espace en attente de résister au désert. ©CR 20 Juin 2022 THÉO HARFOUSH llel Elil
GAËL DEPAUW L’INITIALE CÉLESTE
L’INITIALE CÉLESTE S’élève pour une voix précédant l’instinct furtif d’une destinée. Affectée par la beauté de ce silence s’installe la démesure et l’hypnose d’un mystère sur l’intervalle d’une errance altérée. Il est ici question d’intime. De soi. Ce pourrait être le filigrane d’un passé désigné par cette attente d’être. D’un corps. Resté insondable sur l’étendue d’une tension et d’une volupté suspendues. La dispersion d’une quête, d’une illusion. L’envol d’une splendeur anéantie et d’une résurrection. Suscitent l’irréalité et l’insularité d’un amour. D’un vertige. D’un égarement, d’une flânerie solitaire... Comme la signature d’une réussite sur la traversée d’un temps filtré d’une confession, d’une prière de renaissances. Cette étendue d’elle s’éloignant d’une rive, d’un bord, si secrètement perdu. Perce la sonorité et l’irrévérence de cette empreinte. Préfigure ce fracas d’artifice d’une initiale céleste. Par le trouble et l’intermittence insubmersible d’une impossible frontière, d’où s’imprime l’intenable d’une dignité ressuscitée. ©CR 5 Octobre 2022 Photo retrouvée. GAËL DEPAUW
AGNÈB B JE M'APPELLE HUMMM FILM FICTION
MARIE THÉRESE ALLIER
L'ÉLOGE DE L'IMAGE JEAN LUC GODARD PROPOSÉ PAR FABRICE ARAGNO ET JEAN PAUL BATTAGGIA
NAN GOLDIN LA LIGNE UN FILM D’URSULA MEIER
MARIE REMOND HELENE DUCHARNE - ANOUK GRINBERG - COLETTE FELLOUS
COLLETTE FELLOUS DURAS CLAUDE DEGLIAME
FRANÇOISE SAGAN - PHILIPPE QUESNE
RAIMUND HOGHE
EMMANUEL EGGERMONT ABERRATION
PIERRE MAILLET DOMINIQUE FROT
NADEGE PRUGNARD FADO DANS LES VEINES
MONI GRÉGO ALAIN CUNY
REDJEP MITROVITSA - JEAN FRANÇOIS SIVADIER
STEVEN COHEN BOUDOIR
SUR LE BRUIT D’UNE ÂME DÉLESTÉE D’ÊTRE FRAGILE Steven Cohen s’invite et se glisse sur la poussière d’une vie. Paillettes, robe éclairée, de lumière rose bleu et violette. S’incruste sur l'étagère, le portrait d’Hitler sous les aiguilles d’un réveil. L'éclat d'une enfance et le scintillement effleure et dévale sur la brillance des regards. D’instinct, se côtoie ce péril à l'écart, d'un homme presque seul sur le trajet d'un désir. Ce qui se dissimule derrière, l'on comprend que l'envahissement de l'ombre existe. De ce dépôt considérable sur le présent du monde. Il y a les miroirs réfléchissants injectés de cette couleur rouge presque effacée de ses lèvres... Sanguinaire. Ces instants d'amours, révoltés ou rien ni l'arrogance du masque porté et caché ne désigne pas l'infranchissable dédoublement. Cet accueil céleste visite l'indicible puissance des reflets. Là où il se tient s'éclipse cet horizon si vaste. L’intensité d’un opéra fracassé sur cette amplitude d’une étoile qui brille de rester fragile. Porté divinement par ce respect de la scène ou se dépose ces quelques soirées errantes. La lumière noire retient la nuit. Soulevant les limbes et les larmes d'un ravissement et d’un clair-obscur. POUR UN ACTE MÊME sur ce bruit silencieux. Steven Cohen frôle la discordance ou rien ne s'efface. Ou la mort resterait inconciliable avec l'étincellement irradié du soleil. ©CR 1 Décembre 2022 BOUDOIR Conception scénographie performance Costumes STEVEN COHEN
ZAZIE DE PARIS
D'UNE CÉLÉBRATION À CE SACRE DE LA NUIT Cette lumière d'un écart. Cet exil étranger. Cet éclat d’un éveil. Ce paradoxe dans un présent tremblé et flottant. Le frôlement du Rouge. Cette dignité en face-à-face. Cette liberté d’être vivante. Cette identité d'un amour D’ELLE. L'ÉDIFICE d'un Pluriel en dévoile le masque, ce vertige d'une Vie... Cet invisible fatale et fragile. Cette trêve d'élégance Effrénée. Cet orage déviant touché par ce qu’elle s’attache à retenir. Ce détail subtil d'une apparence transversale. Cette vacuité d’être l’exception d'un scintillement en signe le reflet. Cette caresse fébrile d’une absence. Cette éclipse d'un retour. Ce rivage et cette fulgurance d’une voix et d'une insolence de ces prémices du noir emprunté à la couleur. Ce sacre de la nuit. L’expire d'un automne si près d'une démesure, d’une distance... C’est seulement l’odeur si persistante d’un flagrant délice d'un café en attente d’un rendez-vous. ©CR 18 Octobre 2020 ZAZIE DE PARIS
FRANÇOIS STEMMER ZAKARY BAIRI LUIS CARRICABURU
VINCENT DIEUTRE JULIEN THÈVES PÉNÉLOPE MON AMOUR CLAIRE DOYON
SERAIT-CE L'ART D'UN EXIL LE PLUS INTIME D'EXISTER Le film écrit et filmé par Claire Doyon Pénélope Mon amour exulte celui d'un combat intérieur. C'est le récit d'un voyage sur les traces d'un passé si présent auquel elles appartiennent. Ce chemin impressionné, par l'œuvre d'un regard. Celle d'une mère qui suit depuis l'enfance cette chronique d’une traversée avec sa fille Pénélope déclarée autiste. Quête de réussite sans failles. Ces deux présences explorent l'absence et l'intermittence de ces mots d'êtres si loin. Si proches. Si près d'êtres. OUBLIÉS. De cette distance vers la mer/e de ces embuscades vers les jardins de vies. L'exploration immuable transporte l'enfant vers ce désir d'amour si démesuré d'une résurrection possible. Essentielle. Comme en témoigne son regard versé vers le ciel d'une attente. Impossible à atteindre. De l'enfance, elle préserve ce mouvement pur et incessant de l'antre vie. Et de l'adolescence, elle témoigne d'une puissance inépuisable, solide, brillante, respirant l'effort, laissant le survol de ses mains glisser sur un paysage imaginaire. Comme si elle s'était perdue. Sur une fuite débordée de ces regards éclatés en mille éclats de Vie. Telle une réussite flottante de trouver sa place. Celle qu'elle n'a jamais quittée. Reste une trace insaisissable et ineffaçable qui envahit son itinérance, tel un diamant noir sur lequel ricochent toutes tentatives. Claire filme, éprouve, résiste, bouleverse, persiste pour toucher à ce monde plié, Sans se perdre avec ce lien invisible pour saisir ce conflit de l'amour entre réalité et l'impossibilité. De cette impossible et invisible écoute d'un deuil de séparation qui constitue le principe vital de ces images iodées et rêvées. Évidé par l'absence d'une réponse, Alors, s'ouvrir à ce silence resté attentif. D'explorer une volupté de cet état d'âme qui ne peut vivre que dans ses profondeurs inconnues. Serait-ce l'art d'un exil le plus intime d'exister. Le sourire transparent est sa demeure. L'espièglerie furtive est son silence. Une dignité qui se joue de rester admirable. ©CR 19 Octobre 2022 Pénélope Mon amour un film réalisé par CLAIRE DOYON Photos empruntées sur le film de Pénélope
PIPPO DELBONO AMORE
YUMING HEY ET DANS CE CORPS DU DÉLIT
AGNÈS VARDA PHILIPPE ADRIEN HERVÉ GUIBERT
FEUX SACRÉ OISEAU DE LUNE
SI LE SEL DE CET OCÉAN DE LUMIÈRE bruisse encore de cette élégance vivante d’un revoir Ensemencé ©CR Juillet 2022 OISEAU DE LUNE Rencontre au Cœur du Sacré. LÀ OÙ LE COEUR SE BRISE OU SE BRONZE Si loin du crépuscule ou si près de l’aube. Le tambour tremble au loin, seul signal d'un océan tranquille. Le renversement fut l’ascension d’un vertige. Un exil destiné de laisser trace d’un éveil effréné qui s’exalte d’atténuer et de déposer le pouvoir. Là ou le coeur se brise ou se bronze. Revenir sur l’inconnu de ce que l’on ignore. S’offrir des échappées qui s’invitent au repli de l’ombre. Ouvrir les limites de toutes certitudes. Oublier la puissance de douter. Se laisser respirer vers une conscience de l’âme. Préserver l’aptitude à se laisser surprendre sur l’improbable risque de vivre. Intégrer les nuances, relier les extrêmes. Toucher le seuil de la tendresse. Accomplir l’improbable, accueillir l’accomplissement ouvert sur l’immobilité d'une extrême fragilité d'une grâce infinie. Revenir sur L’être et sa traversée d’être sur ces mots pouvant exister. ALORS LE SEL DE CET OCÉAN DE LUMIÈRE bruisse encore de cette élégance vivante d’un revoir. ENSEMENCÉ. ©CR Juillet 2022 OISEAU DE LUNE Rencontre au Cœur du Sacré
DANSER AVEC DURAS L'ENVAHISSEMENT DE L'ÊTRE THOMAS LEBRUN - RÉGIS HUVIER