ZAZIE de Paris L'irrévérence
ZAZIE DE PARIS D'INSTINCT À L'IRRÉVÉRENCE
SUBVERSION D'UNE LETTRE ADRESSÉE
À l'orée d'une NUIT. De l'aube à cette liberté qui ne cesse de se laisser écrire. Un jour, je le sais, s'inscrira en coulisses le désert intérieur et secret des mots. De l’amour et de cet infini qui valse de la passion cachée au sublime. De la fiction d'un récit à la dérive, qui désarme l’affirmation de la différence. Du désir de naitre de l’effraction immense et démesurée… De ne plus effacer l’inhabitée d’un passage possible... De ce temps flexible dédié à ces quelques notes restées muettes par excellence. Le rouge reste sa préférence, le bleu si vaste, excessif, extrême exhale le sillon d’un horizon, le jade égrène et sur-ligne cette fleur parfumée d'une tulipe noire. © Camille Rochwerg Sans date
C'EST SEULEMENT UN RENDEZ-VOUS
L'EXCELLENCE DU GLISSEMENT DES NUAGES Quel choix de cette rencontre m'a interpellé au point de ne plus savoir quitter l'interférence avec ma VIE. Et quelle beauté d'y parvenir. Subrepticement. Défiant L’art d'un Murmure. D'une parole qui jamais ne s'éloigne des rires parfois ou d'une gravité soudaine. D'un souffle et d'un abandon éphémère. D'une perte qui traduit un silence. Parsemées de brèves réalités. Jusqu'à la sublime érosion d'une musique sur. L'instant d'après, il y a l'intensité d'un parfum différé. L'intuition d'emprunter les seuils d'un passage resté à vif. L'évasion de multiplicités extrême qui se déposent sur l'envers d'une préface. D'une conversation immobile, inébranlable. D'écouter le geste secret de l’éclat et d’un amour raffiné considérable pour les êtres. Avec l'unique illusion se précédant et s'adressant aux embruns du dehors qui nous pousse vers la mer. Où s’éclipse l'air si subtil de préserver la dignité de toutes indifférences Pour s'émerveiller devant l'immensité d'un jardin où l'horizontalité et la verticalité du pouvoir caressent l'excellence du glissement des nuages. À cet égard, je vous remercie. © Camille Rochwerg Le 2 Février 2015 Pour L'ivresse d'une apostrophe.
LES LUEURS D'UN ÉGAREMENT SUBTIL Se dévoilent sur le film "Les Nuits D'été" de Mario Fanfani ON A TOUJOURS UN MOT D'AMOUR sur les lèvres dédié à une seule personne… L'ÉCORCE SUR LA VIE ALORS se trouble d'une nécessité. Elle traverse les miroirs d'une terre d'écriture au dessus de cette Il(e) devenu Elle, et inversement aussi... D'une existence... Et d'une audace Furtive.... À l'heure où tremble sur l'écran noir, la rumeur d'une intimité, se substitue l'artifice. L'impuissance émue et précaire du corps de l'âme. Finalement, les rôles s'investissent de vertige, d'une appartenance, d'une effraction de vie opaque, renversée, fragmentée d'une transparence de liberté. Et Sur l'écran fatal d'un premier long métrage. L'élégance d'un scénario démaquille les certitudes. Le temps de s'émouvoir. Ils nous restent cette chanson d'un Final dédiée à une seule personne. Qui s'ancre de l'impulsion d'une signature et d'une Lettre Adressée. Certains films à la fin dans le noir se signe de se dévêtir... D'une Enveloppe de L'ÊTRE... Naît........ au Monde. S'effaç...... de ce Monde... INCIDEMMENT. Pour Zazie de Paris © Camille Rochwerg 11 Novembre 2014 Extrait d'une lettre de C.Dautel A Propos de "Les nuits d'été" de Mario Fanfani Présenté le 28 Novembre 2014 dans le Festival Chéries-Chéris JUSTE UN DÉTAIL La Distribution est INCOMPLETE sur internet Guillaume de Tonquédec Jeanne Balibar Nicolas Bouchaud Mathieu Spinosi Pascal Quéméner Clément Sibony et Zazie
D'INSTINCT ET D'INSOLENCE
MADAME RECEVEZ CETTE RÉVÉRENCE DE VOTRE NOM.
LA VIE CET INTERLIGNE - Cette frivolité solarisée - Ce simulacre insolite - Ce renversement si incrédule - Cette quête de l'intervalle - Cet éclairement fulgurant - Ce sursaut incessant - Cette course effrénée - Cette turbulence de l'ordinaire au sublime - Cette exaltation d'un destin arraché - La vie ce signe décalé - Sur ligné et Inflexible - Cet alentour d'un vertige - Cet exil d'une perte - Ces récits de passions altérées - Où l'évidence s'illumine - Où l'excès s'estompe de l'impureté - Où la blessure éloignée d'une terre d'enfance s'insinue et s'inscrit - Sur cet abîme d'un passage - Ce geste effrois-sable retenu et si vaste - Dont l'apparence révèle autant qu'il se dissout - La vie seulement - Ce récif éphémère - Cet effleurement des mots - Cette étreinte si impossible - Ce frôlement imperceptible - Cette sensation qui jaillit - Cet instant infiltré - Cet ultime orage - Incendiant la conscience - Ponctuée d'effraction de l'informulé - La vie cette indécence à l'amour - Ce délaissement infidèle par fidélité - Ce détour incognito - De l'immersion et d'un suspend - Cette interférence silencieuse - Ce miroir incendié - Dédiée d'un champ de force - Où la vie cet épigraphe de l'obscurité habite - L'oeuvre et l'immensité d'un pourtour - Sur ce bleu inversé d’une garance et d’un médium de liberté. © Camille Rochwerg 25 Novembre 2014 Photo Zazie de Paris de Berlin à Paris Cet équivoque d'une échappée D'elle.
ENTRE LE DÉSIR DE PLAIRE OSCILLANT SUR L'ŒUVRE INACHEVÉE DE CE CAHIER FILMÉ OPAQUE ET MIXÉ D'IMAGES. ENTRE cette levée dé(s)voile) rouge éclot de l'inconvenance d'un crépuscule... D'une couleur si intense. Et l'écart d'un sillage si célébré. D'une vérité et d'un azur changeant le regard de ces jardins qui recèlent l'impromptue de l'ébruitement de la nuit.. Berlin s'est infiltré sur ce mur(mur). D'un si long voyage accompagné par Vous. Et l’absolue vérité de ce qui se délie derrière cette Il(e) D’elle. Où la lie écarlate d'un amour fou se souvient d'avoir frôlé le frisson de ses amants. D’un luxe Intouchable. Éprise de la beauté d'un idéal et d'une atteinte de la VIE. Il y a ce renversement utopique, passante d'une île atlantique où la nacre de l'écume s'irise d'un destin. D'un océan et d'une révolte. D'une parenthèse entre l'enfance d'un Masculin Féminin Pluriels. ZAZIE DE PARIS insuffle à mon insu, la sublimité d'être une Femme du Cinéma à la Scène. Et s'insigne de ce Nom. Devenir... Une œuvre inachevée... Par déférence. © Camille Rochwerg 14 Novembre 2014