Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
PRESSE IVRESSECRAN PRESSE THÉATRE DANSE CINÉMA ART EXPÉRIMENTAL

THÉATRE Du Rond Point Si Près

THÉÂTRE DU ROND POINT SI PRÈS DE L'AUTOMNE

THÉATRE Du Rond Point Si Près
THÉATRE Du Rond Point Si Près
THEATRE DU ROND POINT

THEATRE DU ROND POINT

TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO
TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO

TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO

UN ORAGE ACIDULÉ PERCE CETTE INVISIBLE BEAUTÉ.  Tango y Tango mise en scène de Marcial DI Fonzo Bo célèbre un cabaret en Argentine. Ce lieu, essarté, d’une Malonga s’incruste de multiples reflets sur le plateau de ce bal populaire. C’est la nuit à Buenos Aires, la scénographie s’est parée d’être un opéra de lustre de poussières fardé sous l’artifice d’une magie des corps. Sur un exil fragmenté d’ombres et de cris perçants sur ces Choses qu’on aimerait oublier. On dansait le tango… Marcial Di Fonzo Bo porte cette empreinte, sa silhouette écrit, ses feuillets à la main, il déambule, rectifie un mouvement s’instruit d’un pas de danse. Avance avec exactitude. Précise un déhanché pour inscrire l’intervalle d’un geste. Sur des glissements de talons aiguilles. Le temps s’étire sur les textes dans un tumulte de fêtes, les bruits de la rue au loin, les néons filtrent les multitudes de couleurs essayant d’effacer les traces de ce pouvoir. Derrière ces rideaux, se glisse ce champ d’images, filmées, filantes, entrecoupées de la vie quotidienne. Ces voix révolutionnaires soufflent sur l’énergie d'une parole et d’une altération de Cet amour à tes côtés a été plus fragile que le cristal. L’exaltation fulgurante, parsème ces dérives sensuelles sur l’errance de cette terre émergée ou se frôle ces corps-à-corps illuminés. Sur l'interférence de leurs histoires se capture, l'enclos et la traversée sans miroir. De ceux qui sont encore, qui ne sont plus rien. Se souvenir de la perte, désarmer la violence, jusqu’à laisser disparaître le souvenir de l’enfance. Frontière aveugle, reflets de larmes, le cataclysme d’un état d’alerte édifie la beauté d’un orage acidulé. Rester touché par l’édifice de la féminité, et le suspend du corps des hommes vers une dignité verticale. Cette parure des mots s'offre au renoncement des libertés de renaître de ce bruit du sang versé. La nuit, s'étire fracassant le luxe de leurs vies ancestrales reliant au rythme du bandonéon, la flagrance de ce chant guttural, et du violon susurré. Pour s’éblouir sur ce temps effréné d'un miracle infinitif de silence enraciné, destiné à libérer l'éveil et le sens sacré de danser sur ce désir d’une existence. Quand on regarde les gens danser, ce sont des choses qui ne peuvent pas se dire. Extrait ©CR Mai 2023 Tango y Tango  Livret Santiago Amigorena, Musique Philippe Cohen Solal, Mise en scène Marcial Di Fonzo Bo Chorégraphie Matias Tripodi Scénographie Alban Ho Van Images Nicolas Mesdom Lumière  Dominique Bruguière Costumes  Pierre Canitrot Avec Rebecca Marder Cristina Vilallonga Rodolfo de Souza Julio Zurita Mauro Caiazza. Extrait de répétition. Photographie par Iphone

TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO
TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO

TANGO Y TANGO MARCIAL DI FONZO BO

64 C'EST NON

64 C'EST NON

20 ANS DE LIBERTÉ AU THÉATRE DU ROND POINT
20 ANS DE LIBERTÉ AU THÉATRE DU ROND POINT20 ANS DE LIBERTÉ AU THÉATRE DU ROND POINT

20 ANS DE LIBERTÉ AU THÉATRE DU ROND POINT

20 ANS DE LIBERTÉ  JEAN MICHEL RIBES
IMPRESSIONNANT DÉPART FESTIF AU THÉATRE DU ROND POINT
L’éclair gravé de ce visage s’instruit d’être un fou passionné de mystère. Charmeur de sa solitude. L’homme de théâtre… Dont le destin s’est scellé sur cette aventure inattendue, brille d’être le ménestrel d’événements qui se sont précipités… Pour un public personnifié du huitième arrondissement. En surface les champs Élysées se multiplient de lumière aux heures nocturnes. Dans les salles se joue à voix nues le CARNET DE LA DERNIÈRE PLUIE LECTURE INCONGRUE DE JEAN-MICHEL RIBES. Il y a eu l'ascension d'un vertige renversé entre DEUX AMIS de Pascal Rambert. La Parure d'une vie POUR TOUT VA BIEN MADEMOISELLE d'Hélène et Marie Rémond. Une part manquante pour AMORE de Pippo Delbono. Accompagnés de Bobo et Gianluca Ballaré qui resteront ce luxe d'une vie et d'un sourire sur les plateaux applaudis tous les soirs. EXÉCUTEUR 14 d'Adel Hakim. Une grâce lézardée de L'impuissance admirée préfigurant cet attentat d’amour d’une mort annoncée. Sur LE CONCEPT DU VISAGE DU FILS DE DIEU DE Roméo Castellucci. L'illimitée de L'oracle pour LES VISAGES ET LES CORPS de Philippe Calvario. SPLENDIDS de Jean Genet par Arthur Nauziciel. KISS AND CRY par Michèle Anne de Mey. DÉMONS un film de Marcial di Fonzo Bo. SAINTE DE SAINTETÉ par Laurence Vielle. L'EXTRÊME CABARET HYBRIDE ET RAFFINÉ GARDÉNIA d'Alain Platel. UN APPRENTI CITOYEN DU MONDE de Dominique Besnehard retraçant ses souvenirs de Monsieur Pipi dans les toilettes les plus chics du Carlton à Cannes. RESTER VIVANTS d'Yves Noel Génod avec service et champagne au sous-sol. L'OBSCURE DIFFRACTION de Michel Fau et l’extravagance d'un concert avec cette diction si particulière qui peut paraître affectée et décalée. La mise en scène du rire par Jean-Michel Ribes porte tatouée sur son âme les écrits de Roland Dubillard et ses Diablogues. Il ne s’est jamais complu dans la facilité. Il avait une vision du monde lucide et tragique par essence même… Un paroxysme au théâtre au-delà des apparences… L'effraction politique. L’engagement flamboyant et tapageur vagabondait, et dont je n'ai pas toujours préservé les écrits. Une manière d'être… Veilleur et Chevalier. Accompagnant la trace des auteurs vivants de ce siècle. Finalement je ne l'ai salué que par intermittence. © Camille Rochwerg le 13 Décembre 2022 Pour 20 ANS DE LIBERTÉ
DEUX AMIS TEXTE ET MISE EN SCÈNE PASCAL RAMBERT STANISLAS NORDEY  CHARLES BERLING

DEUX AMIS TEXTE ET MISE EN SCÈNE PASCAL RAMBERT STANISLAS NORDEY CHARLES BERLING

DEUX AMIS TEXTE ET MISE EN SCÈNE PASCAL RAMBERT THÉATRE DU ROND POINT   L'ASCENSION D'UN VERTIGE RENVERSÉ   Cet art d'une parole déversée, d'une passion intérieure qui se relie, dérive et se réécrit. Révèle cet exil solitaire si idéal si fidèle sur le plateau. De pressentir ces fidélités d'infidélités par fidélité génère ce doute. D'aimer, de douter… Par nécessité. Auteur d'une fiction plurielle insaisissable. En fuite de liberté. Pascal Rambert porte l'amour même d'un hymne. Où l'oeuvre exhale ces fissures d'apparence intenable et réversible.  Chaque mot, de chaque nuit raconte l'histoire de l'autre. Précipitée d'une distance. Cet amour-là même demeure éternellement. Fidèlement si dissemblables si associés. Ils s'entremêlent et s'identifient de la souffrance, à la folie, du mensonge à la jalousie et de la haine vaincue de cet amour indicible. Les mots s'égrènent sur les traces de mémoires, insufflent, se dessinent initiant la vie de ces fantômes disparus. C'est un fleuve sonore où se jettent les affluents, où la pensée s'avance, ou le sillon sensuel, se pare dans son effort et son élan de forces et de charmes. Pour croiser à cet endroit les méditations et les rumeurs qui ont imprégné de ses marbres glissants le Théâtre de Chaillot et l'exposition Universelle. Laissant s'effacer le parjure des libertés où le verbe de Molière à Antoine Vitez se timbre la voix de Roger Blin sur le parvis de l'Odéon. Inscrivant l'ombre éblouie et silencieuse de Jean Genet. L'oeuvre s'inscrit d'un regard captif, troublé, enivré, consacré, débordé. Préservant le souffle de séduction si présent. L'écriture porte la résonance dans les cintres de cette lumière qui s'émerveille de la transparence. Cette scénographie pliée sous le poids du silence. Cette matière de silence. Cet empilement ordonné régit l'encombrement tel que Stanislas Nordey et Charles Berling dépose cette armure des mots sur ce désert ensablé qui serait pulsé par le sirocco sur ce plateau. Un lieu d'insonorité, de loges indiscrètes aux ébats insolites et assouvis. Une accumulation démêlée par amour vers une cime jaillissante. Un amour répété, tracé gravé qui bruisse par la pulsion désirable de phrase sans fin, traversée de rêves simulés. Immuable. Inaltérable. Le mot Amour métamorphosé se brise à l'infini. Se signant de points de passage, de traversées vertigineuses de l'altérité à la blessure. De la jouissance à la félicité, ils s'échappent se fuient. D'êtres. De rester vivants délivrés ébranlés en surface de lier cette identité. D'un devenir, inachevé, qui se déborde et se célèbre. Immortels. Passionnés. Ils s'approchent, s'effleurent, demeurent, se touchent se déversent. Incessamment. De l'écriture, à ce temps irréductible de la conscience, à cette distance du temps qui reste. D'Aimer. Il faut déceler les signes, d'un repli, ou le coeur se brise ou se chrysalide ourlé d'or pur pour laisser rayonner le sens, à l'écart de cet afflux de l'écriture. Il souffle l'âme et le sacre d'un air glacial ensemencé. De ce cri vertical de Pascal Rambert ou la puissance horizontale vivante fuite sur l'ascension d'un vertige renversé. Déversé. Dévasté. © Camille Rochwerg DEUX AMIS Texte et mise en scène : Pascal Rambert Avec : Charles Berling, Stanislas Nordey Lumières : Yves Godin Costumes : Anaïs Romand Collaboration artistique et direction de production : Pauline Roussille 

PIPPO DELBONO
PIPPO DELBONO

PIPPO DELBONO

UNE PART MANQUANTE SCINTILLE DE CES MULTIPLES REFLETS.  

Comment cet arbre rouge porte un silence éclairé, sur l'ombre portée de cette urgence d'amour. Comment déraper. S'effondrer, se relever, s'enlacer, oublier. Se dévêtir de cet amour. Rester nu. Préserver sa mémoire. Mettre de côté les obstacles, humanisés la scène. Soulever l'évidence de cette folie d'amour sur l'interrogation d'une existence plus vaste de ce monde. Au fil du vent, ce flux et ce reflux dessinent l'aube projetée de cette chevelure. Pippo elbono initie la résonance d'une étreinte, seul avec l'autre de lui-même. Vers une identité inaccessible. Où l'esquisse d'un cœur vivant si près d'un impossible à atteindre. Se déplie sur la fusion de ces deux univers. Si intimement lié à l'apocalypse, instruit d'être délivré d'un ailleurs possible. Parce que la perte semble s'écrire comme une phrase inextricable d'un répertoire nommé de toucher à la folie d'une solitude. Parce que cette parole s'épuise de cette fascination violente éparse d'une certaine relation avec le monde. Parce que l'impossibilité de devenir et d’exalter cet égarement de l'entre-deux. S'illumine l'éclat d'un trouble d'éclairer l'obscur sublimé. Célébrant le corps déplié sur ces chants enivrés du Portugal. Il révèle l'inexplicable bateleur d'une solitude en piste. S'enivrant d'un bonheur, tenté, enfoui, désarticulé, décalé. L'immensité de la mer influe sur l'ombre portée, sur ce vide. Ouvert. Passeur d'images en déshérence, si l'on s'attarde... Sur ce cœur devenu muet. Sur l'altérité des lumières clignotantes, cette élégance préservée se brûle, là où l'amour d'une confidence interpelle l'obscurité majestueuse du battement de la vie. À proximité de ce luxe d'un froissement de mur/MUR. L'épice d'un simulacre sacré et symbole d'un plateau dénudé. Préfacé par ce chant d'amour se dépose l'insistance de cette voix, s'infiltre la lumière fluide des images bruissantes et en suspens, précédé d'une parenthèse sur des récits multiples et les écrits de Carlos Drummond de Andrade. Ce silence d'une fin, perce cette peur de perdre ce que perçoivent les miroirs, Brûler la Vie. Déchirer les masques. Effeuiller les désirs de fléchir sur l'insolence bouleversée. Attentif de générer l'improbabilité peut être d'une conversation fugitive à l'arrêt d'effacer ses certitudes. La scène préserve cette indiscrétion de l'intime publique éventrée. D'aborder l'ineffaçable objet d'amour qui l'éviterait presque par hasard et qu'il tente de retenir. Une part manquante. © Camille Rochwerg le 10 Septembre 2022. AMORE Une création de : Pippo Delbono Avec : Compagnia PIPPO DELBONO Dolly Albertin, Gianluca Ballarè, Margherita Clemente, Pippo Delbono, Ilaria Distante, Aline Frazão, Selma Uamusse, Mario Intruglio, Pedro Jóia, Nelson Lariccia, Gianni Parenti, Miguel Ramos, Pepe Robledo, Grazia Spinella Musiques originales : Pedro Jóia et compositeurs variés Décor : Johana Villaverde Costumes : Elena Giampaoli Lumière : Orlando Bolognesi

PIPPO DELBONO UNE PART MANQUANTE SCINTILLE DE SES MULTIPLES REFLETS

PIPPO DELBONO UNE PART MANQUANTE SCINTILLE DE SES MULTIPLES REFLETS

PARURE D'UNE VIE HÉLÈNE MARIE RÉMOND

PARURE D'UNE VIE HÉLÈNE MARIE RÉMOND

HÉLÈNE MARIE RÉMOND PARURE D'UNE VIE

HÉLÈNE MARIE RÉMOND PARURE D'UNE VIE

HÉLÈNE DUCHARNE PUBLIÉE SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

HÉLÈNE DUCHARNE PUBLIÉE SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

HELÈNE - MARIE RÉMOND TOUT VA BIEN MADEMOISELLE 

HELÈNE - MARIE RÉMOND TOUT VA BIEN MADEMOISELLE 

HELÈNE - MARIE RÉMOND TOUT VA BIEN MADEMOISELLE 

PARURE D’UNE VIE

MARIE RÉMOND  porte sur la scène les traces, indélébiles et furtive de l'écho de son sourire. Celui d’Hélène. Infaillible. Elle restitue à cet égard l'art de ces récits, les interprétations, les hésitations. Les albums retrouvés, les photos d’enfance, les liens perdus. Effacés, récupérés. S’exalte alors la fragilité d’y trouver une liberté. L’Évitant sur la révélation de la maladie. Elle sillonne, répare, secoue la détresse, d’accueillir la grâce sans jamais négliger l'imprévu. Elle initie les transfigurations de sa vie pour laisser vivre le flot des mots. 

C'est sur ces instants indécis si élargis, si précaires d’un futur qu'elle se tient... 

C'est sans doute là que la fiction et la réalité se confondent, si violemment séparées. À la croisée de cet éveil, les gestes interfèrent de devenir vivants, le passé et la mémoire se précipitent. Vérifiant la langue existante de l'endroit même d'où nous naissons. Cette initiale splendeur du jour de ma naissance. Porte le cordon d’un attachement. Encordées... Détachées Veines opacifiées, transfusés ce sont ces mots qui se sont tus à l'heure de ma naissance. Elle interpelle, rectifie avec constance de sentir si... De cette mémoire filtre où s’effacent les failles, les fissures et les interstices du souvenir. Elle avance seule et se glisse à la lueur d’une trace sur l'altérité des secrets. Unique horizon d'un lever du jour, hors des lisières d'identités. Cette constellation se dépose à la surface de sa vie. Inscrivant là ce débordement translucide. Ce silence-là s’est inscrit sur le murmure des lèvres. Se glissant sur la marge... S'éloignant de l'insignifiance d'un passé inaperçu et oublié. L'étoffe d’une oeuvre et d’un retour fragile signe cet état de renaissances. D’abandonner l’errance d'une origine perdue. Faisant taire l'impromptu d’une absence du père s’édifie le rêve ou l’enfer d'où l'on revient… De ce vide dans ce noir de lumière sur ce plateau, elle brille d’être pour elle seule. Elle sait l’inventaire d’une passion dévorante sur cette scène prestigieuse. Dès lors, elle arpente l'exigence pulsant l'éclair. Il y a des êtres qui portent cette réversibilité flottante. Il y a des êtres qui portent ce scintillement d'un destin souligné d’y inscrire l'illusion d'une course et d’un territoire. Pour en dessiner la délivrance… Entre ces deux corps de conscience... Greffée dans tout le corps par le mystère de l'héritage. Cet acte livre l’indiscrétion vivante. D’écrire sa vie, délivrée, de ce qui s’est échappé sur L’INTERSTICE D’UN AMOUR. © Camille Rochwerg NOV 2021

ADEL AKIM SPLENDEURS D'Y TROUVER DE L'AMOUR PIPPO DELBONO

ADEL AKIM SPLENDEURS D'Y TROUVER DE L'AMOUR PIPPO DELBONO

PIPPO DELBONO UNE INDICIBLE BEAUTÉ DE L'UN VERS L'AUTRE

PIPPO DELBONO UNE INDICIBLE BEAUTÉ DE L'UN VERS L'AUTRE

PIPPO DELBONO

PIPPO DELBONO

PIPPO DELBONO UNE TRÈVE INACHEVÉE

PIPPO DELBONO UNE TRÈVE INACHEVÉE

PIPPO DELBONO L'ÊTRE TOUCHÉ D'ÊTRE TOUCHÉ

PIPPO DELBONO L'ÊTRE TOUCHÉ D'ÊTRE TOUCHÉ

BOBO ET GIANLUCA BALLARÉ

BOBO ET GIANLUCA BALLARÉ

PIPPO DELBONO LA VISITE BOBO ET MICKAEL LONSDALE

PIPPO DELBONO LA VISITE BOBO ET MICKAEL LONSDALE

ROMÉO CASTELLUCCI LE VISAGE DE DIEU PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

ROMÉO CASTELLUCCI LE VISAGE DE DIEU PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

PHILIPPE CALVARIO LES VISAGES ET LES CORPS

PHILIPPE CALVARIO LES VISAGES ET LES CORPS

PHILIPPE CALVARIO LES VISAGES ET LES CORPS

PHILIPPE CALVARIO LES VISAGES ET LES CORPS

EAN GENET KISS AND CRY

EAN GENET KISS AND CRY

MARCIAL DI FONZO BO LAURENCE VIELLE

MARCIAL DI FONZO BO LAURENCE VIELLE

GARDÉNIA ALAIN PLATEL DOMINIQUE BESNEHARD

GARDÉNIA ALAIN PLATEL DOMINIQUE BESNEHARD

ALAIN PLATEL GARDÉNIA PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

ALAIN PLATEL GARDÉNIA PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

MICHEL FAU UNE OBSCURE DIFFRACTION

MICHEL FAU UNE OBSCURE DIFFRACTION

MICHEL FAU PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE
MICHEL FAU PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

MICHEL FAU PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

MICHEL FAU CLAUDE DEGLIAME LE VENTRE UN TEXTE DE JEAN MICHEL RABEUX

MICHEL FAU CLAUDE DEGLIAME LE VENTRE UN TEXTE DE JEAN MICHEL RABEUX

MICHEL FAU L'EXTRÈME PUISSANCE D'UN PRINCE

MICHEL FAU L'EXTRÈME PUISSANCE D'UN PRINCE

RODRIGO GARCIA PARCE QU'IL NE VIENT PAS AVEC DES CERTITUDES

RODRIGO GARCIA PARCE QU'IL NE VIENT PAS AVEC DES CERTITUDES

THÉATRE Du Rond Point Si Près
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

THÉATRE DU ROND POINT

THÉATRE DU ROND POINT

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :