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PRESSE IVRESSECRAN PRESSE THÉATRE DANSE CINÉMA ART EXPÉRIMENTAL

CINÉMA Coté court L'imperceptible

CAMILLE EL INACHEVÉE
  1. FESTIVAL COTÉ COURT L'IMPERCEPTIBLE

CINÉMA COTÉ COURT

CINÉMA COTÉ COURT

CINÉMA Coté court L'imperceptible
FESTIVAL CÔTÉ COURT

FESTIVAL CÔTÉ COURT

FESTIVAL CÔTÉ COURT HOMMAGE à GODARD
FESTIVAL CÔTÉ COURT HOMMAGE à GODARD
FESTIVAL CÔTÉ COURT HOMMAGE à GODARD

FESTIVAL CÔTÉ COURT HOMMAGE à GODARD

FESTIVAL CÔTÉ COURT HOMMAGE à GODARD
CET AMANT DE L'AURORE ET DES NUITS OBSCURES
Trois films présentés en ouverture de la soirée GODARD se décline sur l'errance et l'intensité d'un mouvement en liberté. Liberté consacrée, édifiant une allure rebelle et sensuelle jusqu'à la rupture... Lisière Visible sans issue de secours traversée de ce temps d'un souffle laissant vibrer l'air, l'envol et l'inertie des passages de voix mouvantes. Jusqu’à laisser l'orage s'engloutir et se frôler à l'émergence d'un rêve précaire sans limite. À l'écart de la nuit, de force et d'indiscipline se signe cette parade intime endiablée de fabrique, de visions. Sur ce pli, d'évidence, le passage des identités audacieuses, explorent l'excès l'épure et l'élégance de quelques notes de piano métal. Le noir saccagé d'impertinence et de désinvolture défriche le masculin féminin. Quelques traces du Mépris seront traversées par différents corps et textes. L'écran d'un film s'entrouvre sur les flous illimités de cet art de la Divine Comédie des apparences reliées à l'illusion d'utopies possibles. Le carmin rouge de l'accident éclabousse la silencieuse lecture d'une fiction.
La décadence d'une fissure laisse entrevoir l'élan éclairé d'une résonance qui frôle ces images. La transhumance fidèle dérivée, s'étale sur la gravité de la pellicule. En travelling, la caméra s'élance à hauteur des étoiles caressant ces champs de ruines ou les coquelicots persistent à trouer la lumière. Le salut d'un récif, transmute et déverse cette respiration d'un chant d'amour chahutés de bruits et de ferrailles. La sonorité de sa voix si vaste, si rare, si étrange. Scande l'inaccessible battement de toucher à la beauté du monde. Au-delà d'une quête, la certitude porte cette grâce indéfinie du sacré... Qui s'est échoué, avant d'embarquer vers l'enfer. Une caresse frôle l'étreinte, luxuriante qui s'expose. Entre deux êtres. Une autre écriture, alors, frémit sur ces blessures imperfectibles, d'une vérité perdue. À l'abord d'un jardin s'éclairant du crépuscule du jour. Leurs lèvres ou se dépose un baiser futile. Se laisse entendre ce « Je t'aime tendrement , je t'aime tragiquement ». ©Camille Rochwerg Le 9 juin 2023 A PROPOS DE Quod erat JEAN LUC GODARD Demonstrandum FABRICE ARAGNO
L'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT Simon Guelat et la voix de Denis LavantL'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT Simon Guelat et la voix de Denis LavantL'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT Simon Guelat et la voix de Denis Lavant

L'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT Simon Guelat et la voix de Denis Lavant

L'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT L'INEXISTENCE - L'EXISTENCE L’effroi d’un si long voyage traverse la grâce et le dépassement du récit qui se prolonge sur cette mer houleuse si étale. C'est aussi le revers de l’ombre jusqu'à laisser disparaître, l’identité d’une effraction de liberté altérée. Ainsi la mort et l’éclat d’une voix interprétée par Denis Lavant secoue cet éclair réversible de la violence de s’instruire de la brume vers l’extase. Sur la rencontre et la ciselure d'élégance d'une baleine se glisse ce reflet des ténèbres. S'évapore le lien de l’homme à la nature asphyxiée d'être seule en scène. L'imbrication d'un acte désarçonné se projette sur l'écran entre l’immensité projetée défilant les siècles et la violence saccagée d'un homme affecté d'un sursaut peut-être. Invisible. La caméra souligne l'élan d’une vie, pour laisser disparaitre l'interstice de ce corps animal et céleste. Passage illustre du survol d'inscrire cette tentation de survivre à cette insolence sociale, cette inconséquence de la puissance. Ou de l'impuissance programmée. Des fuites de l'inexistence à l'existence des confusions si intimes politiques écrasent la portée d’un suicide en déshérence. Les paysages s'égarent, sur l'inconscience devenue territoires choisis qui portent la voix, les traces, de lieux, de l'incommensurable abandon . Et de l’importance d’y Vivre. Au travers de cette inflexion d’une voix occultée par l'itinérance et par le trouble des flots à la dérive, s’esquive l'écume des mots secrets. La vague silencieuse engloutie laisse a découvert l'éclair de cette fureur mortelle. Juste un instant. Ce texte gravé sur la pellicule porte cette absence référentielle (ciel) par effraction d'un silence ininterrompu. Où se sont incrustés dans la nuit d’une étoile ces fantômes dérivant à l'écart des rives et lieux naissants ainsi détruits par l'épure magnétique de « L’effort des hommes ». Effaçant l’entrave… D’une résistance d’infléchir la trace tout humaine disparue. Précisément. ©Camille Rochwerg L'EFFORT DES HOMMES UN FILM DE JEAN GABRIEL PÉRIOT Avec Simon Guelat et la voix de Denis Lavant

HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien DeseezHÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien DeseezHÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez

HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez

HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Autour de CLAUDE CAHUN ET MARCEL MOORE. CE VIRAGE INCANDESCENT Restitue une fiction filmée et lucide d'un glissement aveuglant sur le parcours de Claude Cahun et Marcel Moore réfugiées presque en exil sur l’île de Jersey en 1940. Sur l’écran, s’invite cette respiration d'un chant d'amour. Obstrué sur ce chemin de liberté/Provisoire/ D’aimer. Revenir sur l’espoir d’une identité sexuelle alertée. Franchir la pertinence photographique de l’image exacerbée. Excitées. Parées. Par ces corps dissidents. Ardentes. Amantes. L’histoire dérape, s’aventure frôlant la peur. D’entre les bruits. D’une cohabitation avec l’océan. D’atteindre et d’effacer les reflets gravés en miroir par les flots du nazisme. De percer les liens de leurs signatures. De perforer au travers de ces écrits et d’inventer ce personnage d’un « Soldat sans nom » qui inspire cet espoir de vie et de mort associé à ces silences vertigineux. L’on pourrait dire que la mer est une lésion qui s'engouffre pour traverser les images de leurs arts sulfurisés. En mémoire brisant cette fracture imperfectible. De se sauver vers un futur encore inexploré. Portée par cette distance considérable avec ce vide laissé de leurs passages. Cette violence si sourde déportée par l’intempérance d’un enfer. Laisse ce trajet subversif se déplier de cette adversité de face et de profil inversée. En marge, se dessine l‘écume, un jour de plein vent et de pluie. Leurs visages à découvert nous regardent… Finalement sans fin. ©Camille Rochwerg Le 11 Juin 2023 HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez

HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez
HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez

HÉROINES UN FILM DE ASTRÉ DESRIVES Avec Sophie Demeyer Jeanne Moynot Julia Föry Aurélien Deseez

PANORAMA Le Père, le Fils et le Rav Kalmenson DAYAN DAVID OUALID 

PANORAMA Le Père, le Fils et le Rav Kalmenson DAYAN DAVID OUALID 

JUSTE ÉCLAIRÉ PAR SES CHAUSSURES. ON PEUT SENTIR LA RÉVERBÉRATION ET L'INTERSTICE D’UN AMOUR. Au travers de ces films. Ce qui s’écrit, c’est le trajet risqué de glisser vers ce pas qui illumine une origine. L’alerte d'un appel et la réversibilité de ce délicat écrin qui se dépose sur ces silences et ces rires. L’anxiété des mensonges, l’altération des confidences suspendues par des larmes asséchées. Ce qui persiste, c’est cette connivence, cette fulgurance du regard porté gravé de silence. Où les flous effacent leurs mémoires. Qui triomphe d'une vie marquée par ce temps de l'image éclairé si simplement. Ce sont ces visages d’un vertige qui laisse apparaître la révolte secrète inexprimée incarnée de leurs blessures. Leurs sentiments subsistent, l’ancrage du rêve a tatoué leurs âmes. Ce sont ces destins tués par L’un-communication d’être touchés. De confidences révélées qui se sont incrustées sur cette légèreté déliée oscillant entre l’aspérité du miroir et l’insolence de se perdre. De s’y perdre. ©Camille Rochwerg Le 9 juin 2023 PANORAMA Amours Sourdes CLARA PETAZZONI Le Père, le Fils et le Rav Kalmenson DAYAN DAVID OUALID Aïcha CORALIE LAVERGNE Les Sables de Fontainebleau MARC-ANTOINE VAUGEOIS

DOMINIQUE FROT  L'IMPERCEPTIBLE LECTURE UN FILM LE POINT DE REPRISE DE NICOLAS PANAY

DOMINIQUE FROT L'IMPERCEPTIBLE LECTURE UN FILM LE POINT DE REPRISE DE NICOLAS PANAY

DOMINIQUE FROT D'UNE FELURE DE L'ÊTRE ET TOUT S'EFFONDRE

DOMINIQUE FROT D'UNE FELURE DE L'ÊTRE ET TOUT S'EFFONDRE

DOMINIQUE FROT D'UNE FÉLURE DE L'ÊTRE

DOMINIQUE FROT D'UNE FÉLURE DE L'ÊTRE

DOMINIQUE FROT PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT

DOMINIQUE FROT PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT

JE M’APPELLE HMMM... Fiction filmée par AGNÈS B PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT
JE M’APPELLE HMMM... Fiction filmée par AGNÈS B PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT

JE M’APPELLE HMMM... Fiction filmée par AGNÈS B PUBLIÉ SUR LE LIVRE L'ENSEMENCEMENT

CE QUI RESTE D’UN DÉTAIL C’EST ce silence de l’enfance Ces sourires et ces regards insistants. Qui s’égrènent sur la beauté de la lumière de l’instant et de l’instinct bouleversé. Ce lieu d’illusion et de reconnaissances. Cette immobilité et respect d'un état d'être. D’une quête à vif et inlassable de l’insaisissable vérité de l’existence. De rester atteints et touchés d'une possible présence délivrée de l’altérité d’un mythe essentiel entre deux éraflures itinérantes et quelques infinis gravés sur le sable. Magnifique. JE M’APPELLE HMMM... Fiction filmée par AGNÈS B. Vous signez ce chic d’une évidence pour Vous Madame. ©CR 7 Juin 2022 AGNÈS B

UN FILM INITIÉ PAR LE COURT FLORENT ET RAPHAÊL JACOULOT  L'EXISTENCE IDÉALE

UN FILM INITIÉ PAR LE COURT FLORENT ET RAPHAÊL JACOULOT L'EXISTENCE IDÉALE

UN FILM INITIÉ PAR LE COURT FLORENT ET RAPHAÊL JACOULOT  L'EXISTENCE IDÉALE

UN FILM INITIÉ PAR LE COURT FLORENT ET RAPHAÊL JACOULOT L'EXISTENCE IDÉALE

ICI LE CHEMINS DES ÂNES UN FILM DE LOU RAMBERT PREISS

ICI LE CHEMINS DES ÂNES UN FILM DE LOU RAMBERT PREISS

LOU RAMBERT PREISS CET IMPERCEPTIBLE TENDRESSE DE CE PÈRE LÀ

LOU RAMBERT PREISS CET IMPERCEPTIBLE TENDRESSE DE CE PÈRE LÀ

TOUT EST VRAI de ROMAIN KRONENBERG  AUDREY BONNET et ROMAIN KRONENBERG

TOUT EST VRAI de ROMAIN KRONENBERG AUDREY BONNET et ROMAIN KRONENBERG

UN FILM DE KOYA KAMURA HOMESICK  LE PARADOXE D'UNE EFFRACTION POLLUÉE DE CE MONDE

UN FILM DE KOYA KAMURA HOMESICK LE PARADOXE D'UNE EFFRACTION POLLUÉE DE CE MONDE

UN FILM DE CLAIRE DOYON KRISHNA OMBWIRI UN FILM DE CLAIRE DOYON

UN FILM DE CLAIRE DOYON KRISHNA OMBWIRI UN FILM DE CLAIRE DOYON

ENTRETIEN AVEC SERGE DANEY

ENTRETIEN AVEC SERGE DANEY

UN FILM DE PANG CHUAN HUANG CR JUIN 2018  Et en réponse Je vous remercie beaucoup pour cette phrase . Où le soleil transperce l’insolence lunaire

UN FILM DE PANG CHUAN HUANG CR JUIN 2018 Et en réponse Je vous remercie beaucoup pour cette phrase . Où le soleil transperce l’insolence lunaire

BORIS LEHMAN  LA FULGURANCE DE SON SOURIRE

BORIS LEHMAN LA FULGURANCE DE SON SOURIRE

DEUX INITIALES MAJUSCULES  POUR UNE VOIX  SANDRINE BONNAIRE MARIANNE FAITHFULL

DEUX INITIALES MAJUSCULES POUR UNE VOIX SANDRINE BONNAIRE MARIANNE FAITHFULL

DEUX INITIALES MAJUSCULES 
POUR UNE VOIX  D’une blondeur enfantine, les yeux rieurs, une voix précédant l’instinct furtif d’une destinée. Elle échappe, s’agrège, intercepte l’envolée d’un rire, d’une splendeur anéantie. Elle précise l’éveil d’une résurrection, l’écueil d’une autodestruction. L’irréalité des drogues, l’insularité d’un amour. Et du désamours. Le champ d’expériences irrespectueux d’elle si secrètement perdue. La sonorité d’une voix. Incommensurable. D’approcher l’irrévérence. La ressemblance d’aucune empreinte. Ou d’intercepter l’insubmersible illusion d’être. Entre l’effroi du corps et l’intermittence d’une impossible frontière, s’exhale l’intenable espièglerie ressuscitée. Pour y rencontrer cette dignité d’un entre-soi. Perfectible. Seront telles sous la caresse d'un cri subtil et libéré, traverser l’écran d’un film D’elles/et de soi. Pour le film de Patrice Chéreau Intimity Il m'a murmuré cette phrase Ça c'est du passé. Il me manque .
© Camille Rochwerg le 18 Mars 2018

BORIS LEHMAN ET SES BOBINES  EMPILÉES

BORIS LEHMAN ET SES BOBINES EMPILÉES

BORIS LEHMAN GÉNÉRIQUE D'UNE ESCALE

BORIS LEHMAN GÉNÉRIQUE D'UNE ESCALE

CINÉMA Coté court L'imperceptible
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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