CABARET Chez Zezette Révérence
BLACKVELVETFROM PARRIS - DEBBY D'AL KHÔL
SPLENDEUR ET RÉVÉRENCE
CABARET LE BARLONE Debby D'Al Khôl et Blackvelvetfrom Parris et LA DRAG
BLACKVELVETFROM PARRIS En attente de publication sur le livre ENSEMENCEMENT
Kings et queers inside!
CHEZ ZEZETTE AVEC RICH'ART CORDELION VICTOR LEMAURE MILLEPERTUIS ET SHAMMY DES VICES
MILLEPERTUIS
Blackvelvetfrom Parris et Debby D'Al Khôl Philippe Lozano
RICH'ART CORDELION EDDY WONKA
LA GRANDE HERVAISE
EDDY WONKA
ÊTRE SEUL EN SCÈNE ÉBLOUIT Sur ces nuits d'errances, cette errance du dehors, sur le fil de la nuit et des lumières s’initient cet autre visage ensemencé. Autrement percevoir, la partition d'un cabaret bleu violacé de rouge célèbre par excellence cette suspension fragile des acteurs. Le rideau rouge s'est levé sur le luxe endiablé d'une fragrance de vivre. D'une destinée irréversible. En excès, ils tentent de se frayer un chemin transgressé, là où s'invite le faste et l'apparat de folâtrer inévitablement sur le plaisir. En loge, déjà, se soulignent le fard, l'illusion, le simulacre, la tentation d'éprouver, de tenter, de s'incliner et de se plier À BRILLER. C'est un lieu où s'ancre le désir, l'irrégularité et l'esquisse qui perce obstinément l'escale d’instincts et d’instants de cet artifice en piste. Être seul en scène. À fleur de ce récif, si dérivé, ce champ d'expérience frôle ce sacre de la nuit d'incendier cette page. Et tenter de L'ÊTRE. Merci d'exister !!! Chez ZEZETTE ©Camille Rochwerg 24 avril 2023 BLACKVELVETFROM PARRIS DEBBY D'AL KHÔL LA GRANDE HERVAISE LOLA WESH EDDY WONKA SHIRLEV VAN MAC BEAL
L’ÉCRITURE DÉMESURÉE DU NOIR
UNE RÉVÉRENCE À L'ÉCART D'UN CABARET Éclairée par l'érosion de multiples facettes de miroirs réfléchissant l'insaisissable. La voix, le corps, installent ce champ d'expériences et fluctuent sur la naissance d'un envol poétique énonçant les différences. Quenelle de Brest inscrit pour un soir le portrait de Claude Cahun, Photographe dont l’étrangeté a parsemé ce chemin d’une liberté/provisoire/offerte. Dont l’éclat porte notre atteinte d’être, d’une identité sexuelle en mouvement de corps de lumière. Dans cette attente d’un lever du jour. L’insaisissable, la pertinence de l’image exacerbée, les corps dissidents, infranchissables se sont sulfurisés sur la pellicule d’une seule voix. De ce trajet subversif qui se déplie et de cette adversité de face et de profil inversée, Elle/il porte la revendication d’une Aventure invisible. Son apparence perce cette séduction ou subsiste l'exception d'un cliché flou et violacé. Il inscrit l'exubérance entremêlée de cette étrange pudeur si rare. Pulvérisant le faste de son nom, ôtant la carapace et le masque, qui se faufile sur scène. Le reflet de cette obscurité retient la nuit sur ce clair-obscur. Sa voix fluctue sur la complicité de la musique qui se tutoie et s'étreint d'ombres enserrant ce texte écrit par Quenelle de Brest. Lors de notre visite, lorsque l'heure glisse, LA VIE se préserve Chez Zézette d'êtres portés par cet étincellement irradié de la nuit. Peut-être entendrez-vous parfois le Maitre de maison chanter derrière les grilles ouvertes... ©Camille Rochwerg Le 21 Mars 2023