ZAZIE de Paris De la Dignité
ZAZIE DE PARIS DE L'INSOLENCE À LA DIGNITÉ
UNE PRESCIENCE INTRANQUILLE Elle existe... Irréversiblement. Si près d'être ce volcan inébranlable. C’est une femme qui se joue de séduction et d'une tendresse ardente. Qui ose s’y mesurer... Indemne. C’est une destinée qui brûle de s’immerger de l’abîme somptueux qui frôle les arbres bleu d'un vent secret à l’extrême. Désir. Traversé. C’est la musique d’une voix incessante. C’est un silence ensorcelé, majestueux ou s'embrase les brumes insondables de la beauté. Avant d’entrer en scène, elle avance à la lueur du silence... Peut-être que la lumière de ce noir pourrait se heurter face public à cette illusion d'un amour. Une sorte d'infini justesse s'insinue sur... L'entaille d'un frémissement qui trébuche sur ses nuits. Infranchissables. Incessantes. Car mêlées de ce quelque chose d'une existence inédite. De cette allure s'impose l’envers des miroirs. Immobile. Réfractant l'invisible. Sidéral. Il faux céder, entrer dans le sillon, s'incliner... D'être. Émerveillée. Ou dépossédée de l’image magique. Étincelante. Quelque chose nous atteint imperceptiblement... Un éclair indigo et pourpre. Est restée suspendue sur l'asphalte. Des cintres. D'un Noir plateau. Texte en extrait d'écriture. © Camille Rochwerg le 12 Novembre 2015
SUR LA TRACE D'UN ROUGE INALTÉRABLE
IL Y A DES VISAGES qui sont des écarts, des intervalles et des interstices d’êtres… Une force et une énergie d'apparaître… ILS respirent sur la clarté d’une mémoire ineffaçable… ET glissent vers une déclinaison infinie vertigineuse… SUR le paradoxe d'un REFLET insondable. Subtile de porter à cet endroit ce visage d'être. Dans ce labyrinthe en une seule nuit LÀ où l'exigence de sa vie la frôle... D'ÊTRE magnifique ce qui transforme provisoirement notre regard dans une proximité troublante... Pour un matin très tôt 10 Mai 2014
J'AIMERAIS TROUVER UNE TRACE, SUR LA VIE, AVANT, LA NUIT,
ZAZIE DE PARIS
UNE FEMME D'ALTITUDE
L'IL/D'ELLE et d'une résurrection. Elle est cette Particule d’une Apostrophe 17 Mai 2014. De déraper sur la plénitude d'un destin qui dévale jusqu'à la mer. Ce Dérivé Partiel immuable de sa traversée s'apprivoise de l'ancrage d'une halte et d'un sourire Extatique 28 Juin 2014. Elle est l’insularité d’une ILE. Qui s’éclipse sur la simplicité d'un Archipel et d’une Parole donnée de liberté le 7 juillet 2014. C’est aussi se laisser troubler... De ce qui se voile. Et de trouver spontanément un appui sur l’exaltation. 8 Juillet 2014. Elle est l’excellence d’un glissement qui dévore le ciel... D'un Rouge d'impatience... Et intercepte les flots d'une Irréalité Sentimentale. 13 Juillet 2014. Et lorsque la nuit s’égare, sur L'heure Bleue !!! Elle préserve sur son visage une Déchirure de Couleurs... D'où, elle se souvient d'avoir aperçu le grand large 17 Juillet 2014. Elle est l'accent d'une voix et d'un attentat d'amour qui effleure une respiration Apocalyptique Rouge et Bleu à votre démesure 22 Juillet 2014. Elle s’éclipse sur la simplicité, donnant le sentiment rare d'une conversation infinie. Et se signe sur le bord de la scène d'un Abandon et d'un Sourire qui s'est enraciné et confié à ce glissement de l'acteur qui ne peut s'écarter. 31 Juillet 2014. L’instant d’un geste est son élégance, sa pudeur, son exigence indiscrètement Votre. Elle
est le doute d’un vertige enivrant de larmes stratifiées. De L'illimitée...
decette@limitationsiimpossible… 03 Août 2014. Plus loin, de toutes les gares du monde, l'on peut entendre les Accords Désaccordées d'une chanson qui s’abandonnent aux fils d’or et d’argent, parés de la Beauté des Fissures. 5 Août 2014. Entre les écueils qui laissent apparaître cette Enfance Déviée de ce destin imprévisible. Votre signature s'inscrit en Majuscule Zazie de Paris. 14 Août 2014. D’où se troue la partition d’une Escale, et d’un Miroir Immergé. Miroir Rompu DE Di-AMANT/S Elle le cite J'AI AIMÉ JULES ET, J'AI AIMÉ JULIETTE VOUS SAVEZ POURQUOI PARCE QU'IL ÉTAIT UNE SEULE ET MÊME PERSONNE. Et de cette résonance incessante de deux Mouvements Inverses. D’être, une seule et même personne, si éloigner du ressac où la vague Effleure le Rivage 17 Août 2014. Elle préserve cette Escale indéfinie d'une lisière D'être qui Fluctue entre l'Insolence de l'Identité Féminine et la quête d'une Extrémité Insidieuse... 10 Septembre 2014. Elle est L’amante des flots bleus, des Lagunes et de Venise, d’un Été Exubérant qui trouble la presqu’il(e) habité de cette rencontre-là. Venise. 27 Août 2014. Elle est cette image qui revient/ d'y Revenir. 28 Août 2014. Elle est la Puissance du Mystère et d'une Étreinte voguant très près du bord 29 Septembre 2014. Elle s’invite à la transparence des Ombres, derrière le Masque d'une légèreté qui se dérobe à la mutation de Revirements Incessants.18 Octobre 2014. Où l'émergence D'être Née Femme par Nécessité. Sur l'impureté d'un modèle Féminin Pluriel ne peut s’effacer par inadvertance. 19 Octobre 2014. Ce serait la fidélité Oxydable, Inoxydable qui s’étreint de ce paradoxe. 28 Octobre 2014. Elle est ce reflet d’une Lueur Atlantide et d'un continent qui a laissé place à ce Masculin suspendu pour une Féminité qui s'échappe nimbée de mystère. 5 Novembre 2014. Elle est l’Écorce d’un corps portant l’insularité d'une Audace Furtive... Et L'invisible ART/MUR d'une évidence resté collé à ce tremblement… D’une Femme D'altitude transgressant l'existence d'une Faille. 10 Décembre 2014. Pétri de souvenirs et de rumeurs mêlés à l'exil. Elle est cette fêlure qui souligne L'Éclosion des Différences. Entre les coursives d’une loge de cabaret, les lumières de la nuit clignotent par éblouissement sur le respect persistant D'un SIGNE. Qu’elle EST. 25 Septembre 2015. Elle porte la trace et L'indifférence d'un Artifice. L'extravagance de ce qui ne peut pas se Dire. Émue. Incessamment Troublée. Dans ce BLEU AFFECTÉ ET VISIBLEMENT LIÉ par la
flagrance d’un Rivage/Consacré. Là s’est inscrit irréversiblement en point de suspension... Une lettre subversive dece Corps/D'Amour/Murmurée/Jamais /Envoyée/Ni/Timbrée/ Restée/En/Poste /Restante... Avec Signature... EL Inachevée... Et de l'une à l'autre persiste L'inversion d'un paysage. Pour Zazie de Paris. Camille Rochwerg 1 Décembre 2016. En cours d’écritures. ZAZIE DE PARIS © Camille Rochwerg 1 Décembre 2016. ENTRE le Rez de Chaussée Vous touchez à cette fêlure qui souligne L'ECLOSION DES DIFFERENCES. EN similitude à ce « LIEU DU CRIME COMME LE CITERAIT" JEAN GENET" ICI PERSISTE L’ÉBLOUISSEMENT. Et Le RESPECT d’un voyage insistant. © Camille Rochwerg 15 Juin 2014 pour ZAZIE DE PARIS Rectifié le 30 Avril 2017
ZAZIE DE PARIS
VERTIGES DU RÊVE DE L'ACTEUR
Parce que le sédiment de ce pas à franchir entre le public et l'intime... L'absence et l'un-distinction... La vie privée, symbolique et rêvée de ce qui transperce, jusqu'à la visibilité ... Laisse filtrer cette fracture... La trace de nos pas et de nos pudeurs passagères. Ose s'aimer, s'aban-donner, errer, de faire halte... C'est aussi se confier, à l'idée de la représentation. Du secret... Du regard... C'est à dire se livrer à l'obscénité, de cette présence totale, insupportable, fascinante de la scène. Fascinante. Rien qu'un mot qui se déplace sur la retenue d'une brillance, scintillante. Sur les lèvres de l'acteur. Il y a ce murmure d'un Vertige Perceptible. Tel un glaneur séraphin, il flâne dans l'éminence noire des lumières pour céder sur la frange exhalée, farouche, sauvage, obstinée d'une épaule détournée. D'un territoire en excès d'intervalle. Éraflant le sol frôlant sur le revers l'écho semblable de lui même SEUL. Je vous écris après l’orage longtemps Imminent... © Camille Rochwerg 20 JUIN 2014 Pour Vous Zazie de Paris et Joao
ESCALE D'UN LUXE OU LA NUIT DÉMESURÉE
S’est glissée. Comme une traînée de lumière sur son passage.
Elle est cette course haletante hors la ville, désobéissante d'un visage qui dessine l'exubérance de cette beauté qui laisse ce trouble inconnu... Et sur les ports d’un rivage immobile et floue apparaît le phare d'un autre continent porteur d’une éclipse. Elle lévite sur le transfert des orages et des intervalles qui divaguent. Elle est le miroir d'un reflet qui semble faire écran à l'éblouissement. Bleu de l'effleurement, Rouge de la racine et du frôlement imperceptible. Elle est l'entracte, la préface, le cistre élégant, la sinuosité d'un ineffaçable détour. Et touche au crépuscule décalé, se déjoue de l'élégance, de l'indécence, de la parure, disposer à recevoir une conversation ultime. Jusqu'à préserver l'éclat d'une traversée solitaire... Qui s'ébauche et qui soulève ce voile défait DE L'INSOLITUDE REMARQUABLE... Consacrée. © Camille Rochwerg un 18 Octobre 2017 Pour ZAZIE DE PARIS
EFFRACTION D’UNE LOGE ET D’UN PLI D’EXCELLENCE
EMPRUNTER ce privilège d’évoquer cet étrange récit inclassable. INVENTER Le subterfuge flottant d'un face à soi. TRÉBUCHER sur le jaillissement de la parole qui la traverse. D'une écriture vers… UNE DISCONTINUITÉ INSUFFLER la fluidité incontestablement habitée de cette intensité inhabituelle DE PERCEVOIR et laisser voltiger ces passions d'impatiences. TISSER de très vastes espaces effaçables. ÉCOUTER L’attrait flottant d’un élan suspendu.
ROMPRE Les références et la complexité et inversement. PAR EXCELLENCE S'ÉVADER s’évader des rumeurs INSTRUIRE La réciprocité d'une liberté perméable INFLÉCHIR l’imprévu du langage du moins jusque-là perceptible. INTERFÉRER sur ces éclairs princiers qui s'illuminent d'étincelles.
ENTREVOIR Ré-inscrire une tonalité suraiguë d'un égarement aléatoire. OU L'EFFLEUREMENT improbable de certaines fleurs rouges de préférence vous ressemble. SURVENIR SUR L'IRRESPIRABLE impureté tout autour. ENTR'APERCEVOIR l’indicible demi-lune clandestine brillante d'être cette étoile éclipsée
SUR LE TRACÉ l’esquisse et la tentation inséparable de laisser dire… CETTE (UN)-DISSIMULÉE INFLUENCER Le libre usage, l’acte de naissance de laisser N'ÊTRE AU CRÉPUSCULE L'effraction des nuages d'une parcelle de la vie mobile qui éclaire L'ÉTONNEMENT D'un commencement dont les traces celle de la respiration inépuisable s'étourdisse. RASSEMBLER Raturer effacer l'écorchure et l’insoumission. TROUER L'ÉCLAT d'une autre extrémité dévoilée de cette d'une nuit furtive ET D'UNE PARTICULE pourrait-on dire. TENTER D'ESSUYER les larmes inondées d'un livre devenu muet. DE CET excès-dense persiste le sourire d'abord de ce rivage que l'on rencontre. FOLLE IMPRUDENCE. © Camille Rochwerg 7 Mai 2014 De nuit comme en plein jour LA VIE