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EN SCÈNE Claude Régy Alexandre Barry

CAMILLE EL INACHEVÉE

CLAUDE RÉGY ALEXANDRE BARRY

L'ATTEINTE D'UN SILENCE MUET

EN SCÈNE Claude Régy Alexandre Barry
L'ATTEINTE D'UN SILENCE MUET  

L'ATTEINTE D'UN SILENCE MUET  

CLAUDE RÉGY AFP PHOTO / JOEL SAGET Joël SAGET

CLAUDE RÉGY AFP PHOTO / JOEL SAGET Joël SAGET

CLAUDE RÉGY JUSTE LE SILENCE

CLAUDE RÉGY JUSTE LE SILENCE

RÊVE ET FOLIE OU JUSTE LE SILENCE  Une voûte silencieuse. Une alerte anthracite un chemin de vertige juste éclairé avec juste les mots qui filtrent l’éventuelle rosé des soirs d'une tombée de la nuit qui opacifie si vite les sons, les superpositions insolites. Il traverse ce dénuement longuement lentement jusqu’à l’effacement de gestes. Jusqu’à la disparition d’un corps, d’un semblant de corps, d’un divertissement d’effluves enfermé. Et puis il disparaît, dispersant les oiseaux de l’essence même d’une envolée de vie. Cet effarement, cet égorgement imperceptible. Dissemblable d’une réapparition. Jusqu’à trouer le texte jusqu’à l’effacement de l'enfer transversal. Et retrouver le plein champ immanent d’une lumière fragile dissimulée pour laisser la trace d’un étouffement indiscipliné de mots indistincts. Forcément diffracté laissant naître l’épopée funeste d’un lever de voile sur l’épaisseur des lumières. D'une porosité élaguée d’un entre-là si impénétrable. Survivra-t-il à la lumière de son destin entre l’effroi du corps défait celui d’une mort différée de l’écriture de Georg Trakl. S’évader, décliner, se déposer sur cet affrontement avec la mort, au plus près, de l’intermittence juste un instant, et traverser l’impossible frontière, d’un souffle à peine perceptible, à peine invisible laissant fuir le signe d'une vie renversée, ressuscitée. Jusqu’au silence intenable élagué de lumière obscure embué d’un amour peut-être s’accélérant sur l’invisibilité. JUSTE UN SILENCE. © Camille Rochwerg LE 2 DÉCEMBRE 2018 MISE EN SCÈNE CLAUDE RÉGY. Rêve et Folie de Georg Trakl Avec YANN BOUDAUD

CLAUDE RÉGY UNE LISIÈRE

CLAUDE RÉGY UNE LISIÈRE

L'ÊTRE D'APRÈS ENTENDRE L'AUTRE VISAGE...   Écarter l'inutile beauté des mots... Rassembler le silence... Essuiyer l'élégance de votre armure... Cette fine poussière qui retient les murmures d'une simple visite... A cet endroit j'appréhendais tous ces silences d'où...  Il vous offrirait une fleur  un jour sans raison et puis vous oublierait sans trahir... C'est un silence qui reste collé à un autre visage, cela s'écarte et protège votre exigence... C’est ce premier espace de lumière qui réveille votre regard singulier... Votre habitation... Révélant l’invisible... C’est le même espace... Votre exigence... De cet escalier qui retient votre attention... Au dernier étage, j’imagine rien... Ou plus simplement un acte de lumière... Épuré du noir... D’où la lumière s’altère à l’abri de l’air... L’escalier vous protège, D’où je me souviens, de la confiance, de se perdre, de revenir... D’où je vous remercie... Implanter le silence d’une première rencontre, comme une simple retouche d’un silence d’aimer à trouver. Je vous signe de la main et vous vous esquivez... A votre insu... J’intercepte votre sourire et je saisis l’envers de toutes rencontres.. Vous aviez de ce regard  l’ombre colorée et sinueuse d’un passant qui chercherait à me parler... Je sais où vous adresser une lettre dans une solitude qui vous parle... Sans se perdre à voix hautes... Maladroites elles seront sans réponses...  Mais vous m’avez tendu une fleur blanche dans la nuit... Puis un sourire s’est effacé discrètement... Infidèles sont les tulipes... Passagère était son parfum le 17 Janvier 1992. A votre insu, j’ai retenu... Tout simplement que ce jour là vous ne connaissiez pas mon nom... A cette approche vous aviez pris peur... Lettre adressée à Claude Régy Le 29 Avril 1993 par © Camille Rochwerg

CLAUDE RÉGY ÉCARTÉ DE TOUTE TRACE

CLAUDE RÉGY ÉCARTÉ DE TOUTE TRACE

BRÛME D'AUTOMNE ÉCARTÉE DE TOUTE TRACE  Plongés dans le noir presque au bord du vide, inhabité ou la dispersion du tissu urbain mouvementé effiloche TOUT REPÈRES… Ce qui inscrit cette parole, sur la scène sacrée, c’est le silence qui fixe l’équilibre… Laurent Cazanave étranger seul…  Au milieu de l’ombre seulement éclairé par la surface des mots. Comme un cœur frappé par l’immense solitude flottante. Porte un regard qui perce… Cet instant d'un éclair argenté écarté de toute trace de cet effondrement du monde. Un silence vertical épris de cette innocence de l’âme. OU les noirs figés sur un instant bref se signent d'une perte ou le souffle saccadé insuffle seulement la vie. Il faut se laisser guider par la musique sonore, engloutie comme un autre lieu si fébrile. D'où surgit le sifflement d'un bleu noir désert en hiver. L'histoire ne tient qu'à un fil. Juste un Lieu de passage traversé d’une dédicace ADRESSÉE A PROPOS DE BRUME DE DIEU Mise en scène de Claude Régy. © Camille Rochwerg SEPT 2011 Extrait Les Oiseaux de Tarjei Vesaas_Traduction du norvégien, Régis Boyer_Assistant mise en scène, Alexandre Barry_Scénographie, Sallahdyn Khatir_Lumière, Rémi Godfroy_Avec Laurent Cazanave. Crédit photo : Brigitte Enguérand

CLAUDE RÉGY UNE ÉCLIPSE

CLAUDE RÉGY UNE ÉCLIPSE

MÉLENCOLIA D'un soleil opaque à l'imperceptible pulsion d'un geste, un contre-jour s'éventre et s'éveille de la parole. A propos de Mélencolia. Camille Rochwerg Mise en scène Claude Régy Sans date

PASSEURS DE LUMIERE CLAUDE REGY OUVRE LES SEUILS DE LA MORT DE TINTAGILES DE M MAETERLINCK AU THÉÂTRE GÉRARD PHILIPPE. IL RÉAFFIRME CETTE QUÊTE INSOLENTE ET INSÉPARABLE DU SILENCE QUI OSCILLE SUR L’IMMOBILITÉ RASSEMBLÉE. Depuis Intérieur il privilégie la parole d’une encre fine double face lisse résistante sur le grain d'une feuille de cristal plissée froissée. dont l'épaisseur mate jusqu'a saturation s'écrit en filigrane surglacé. a distance hors du temps il échappe à l'obscur et marche sur la lisière, le gouffre, la force, et la certitude voilée. derrière le fil de l'écriture les corps effaçés s'assouplissent comme un silence d'une voix qui reste collé à un autre visage... de ses doigts il souligne les couches de sable et préserve imperceptiblement l'érosion interne des traces cachées qui relève ce fragment de lumière de "L'INTÉRIEUR"... écarté de poussières... il y a plus... ce décalage des voix où nous glissons. c’est un temps qui n’est pas comme ici... a cette distance... on pourrait voir un autre corps jaillir... afin de retrouver cette peur protégée. il faut se laisser séduire, implanter l’ombre d’une solitude multiple de l'anthracite à la mort. je n'imagine rien de L'INCERTITUDE il n'y a pas si longtemps la mort dormait encore exposée à l'élégance fluide de l'effacement. sur le plateau surgit inlassablement le dépliement, immersible, d'un autre visage... il faut rester en suspens, saisir l’envers de toutes rencontres... ralentir , essuyer cette armure entre deux souffles... visiter le suintement des arbres de la forêt. épuré du noir. d’où la lumière s’altère à l’abri de l’air traversant le ciel rompu. de notre habitation... vous réveillez notre regard singulier hors plateau... révélant l’invsible... votre exigence... de cette extrême nudité... j’ai retenu que vous m’aviez tendu une fleur blanche dans la nuit le 17 janvier 1992... infidèles sont les tulipes... passagère était son parfum. à votre insu, j'ai su qu'elle serait votre attente sans nom.. votre atteinte un parfum de passage. d’où je me souviens, de la confiance, de se perdre, de revenir... d’où je vous remercie... un jour il vous offrirait  une fleur  sans raison...  Et puis  il vous oublierait sans trahir... L’être adressé à Claude Régy par © Camille Rochwerg autour du spectacle  LA MORT DE TINTAGILES  de M. Maeterlinck

CLAUDE RÉGY LE SILENCE DES FAÇADES

CLAUDE RÉGY LE SILENCE DES FAÇADES

LE SILENCE DES FAÇADES

D’un soleil opaque à l’imperceptible pulsion d’un geste. 

Un contre jour s’éventre et s’éveille de l’altérité éclairée. 

A propos de Mélancolia. CR  25 Février 2001 

LES ÉCRITS DE CLAUDE RÉGY COMME LE NOIR

RESTE TRANSLUCIDE  D'UNE SI LONGUE ABSENCE 

CLAUDE RÉGY

CLAUDE RÉGY

CLAUDE RÉGY HOLOCAUSTE

CLAUDE RÉGY HOLOCAUSTE

HOLOCAUSTE D’UN REVERS EFFACÉ CLAUDE RÉGY CET HOMME MAJUSCULE SIGNE L’INTRANQUILITÉ  DE SON PROCHAIN SPECTACLE PRÉSENTÉ AU THÉÂTRE DE LA COLLIN E  HOLOCAUSTE  Il se peut que l’ombre de sa marche, implante la lumière et les ondes dessinées DEVANT CE MUR DE L’EXTRÉMITÉ. Il se peutque sa distance resplendisse d’une solitude multiple. Il se peut qu’il retouche le silence à trouver... Les Contours de l’infini... Tentative fragile... Il se peut que son regard porte l’immensité, l’incertitude, la nécessité, de l’inachevé, de l’instinct de s’approcher  de l’essence même de l’écorce et des arbres. L’érosion fragile du plateau noir aveugle tremble sous la folie des hommes. dissimule les friches abandonnés, lézardés  qui souligne une voix royale vétuste, trouée Il se peut que l’échancrure de son sourire, révèle cette halte de visiter un lieu presque issu de notre naissance... . « Des endroits où se taire sous la pluie artificielle... Qu’on nous laisse la place des larmes ». IL SE PEUT QUE L’EMOI DU CORPS IGNORE L’OPPRESSION. IL SE PEUT QUE CE MIROIR SANS TAIN DE L’INEXPRIMABLE UNIT ET RÉPARE une parcelle de l’amour,de l’immensitude d’une respiration cachée au bord d’un cri.. L’insimilitude d’une trace adressée aux vivants... Cette prière... Il se peut qu’il nous surprenne dans le noir, à cette distance du plateau, il avance pour effleurez de ses bras, ces forces éloignées. D’un Geste, DEBOUT, CAPTIF, Ouvert, Nu. Hors de cette attente, Il se peut que l’ombre de sa marche, implante la lumière et les ondes. © Camille Rochwerg Mise en scène Claude Régy Sans date

CLAUDE RÉGY JUSTE LE SILENCE D'UNE LISIÈRE

CLAUDE RÉGY JUSTE LE SILENCE D'UNE LISIÈRE

EN SCÈNE Claude Régy Alexandre Barry
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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