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ZAZIE de Paris Sur L'infinité

CAMILLE EL INACHEVÉE

ZAZIE DE PARIS L'INVERSION 

D'UN PAYSAGE SUR L'INFINITÉ

ZAZIE de Paris Sur L'infinité
L'INVERSION D'UN PAYSAGE SUR L'INFINITÉ

L'INVERSION D'UN PAYSAGE SUR L'INFINITÉ

ZAZIE DE PARISZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

ET DE L'UNE À L'AUTRE PERSISTE L'INVERSION D'UN PAYSAGE

UNE FEMME D'ALTITUDE    L'IL/D'ELLE ET D'UNE RÉSURRECTION.

Elle est cette Particule d’une Apostrophe. 17 Mai 2014. De déraper sur la plénitude d'un destin qui dévale jusqu'à la mer. Ce Dérivé Partiel immuable de sa traversée s'apprivoise de l'ancrage d'une halte et d'un sourire Extatique. 28 Juin 2014. Elle est l’insularité d’une LE. Qui s’éclipse sur la simplicité d'un Archipel et d’une Parole donnée de liberté le 7 juillet 2014. C’est aussi se laisser troubler... De ce qui se voile. Et de trouver spontanément un appui sur l’exaltation. 8 Juillet 2014. Elle est l’excellence d’un glissement qui dévore le ciel... D'un Rouge d'impatience... Et intercepte les flots d'une Irréalité Sentimentale. 13 Juillet 2014. Et lorsque la nuit s’égare, sur L'heure Bleue !!! D’une Déchirure de Couleurs... D'où, elle se souvient d'avoir aperçu le grand large. 17 Juillet 2014. Elle est l'accent d'une voix qui effleure une respiration Apocalyptique Rouge et Bleu à votre démesure. 22 Juillet 2014. Elle s’éclipse sur la simplicité, donnant le sentiment rare d'une conversation infinie. Et se signe sur le bord de la scène d'un Abandon enraciné et confié à ce glissement de l'acteur qui ne peut s'écarter. 31 Juillet 2014. L’instant d’un geste est son élégance, sa pudeur, son exigence indiscrètement Votre. Elle est le doute d’un vertige enivrant de larmes stratifiées. De L'illimitée... De cette limitation si impossible... 03 Août 2014. Plus loin, de toutes les gares du monde, l'on peut entendre les Accords Désaccordés d'une chanson qui s’abandonnent aux fils d’or et d’argent, parés de la Beauté des Fissures. 5 Août 2014. Entre les écueils qui laissent apparaître cette Enfance Déviée de ce destin imprévisible. Votre signature s'inscrit en Majuscule Zazie de Paris. 14 Août 2014. D’où se troue la partition d’une Escale, et d’un Miroir Immergé. Miroir Rompu DE Di-AMANT/S Elle le cite J'AI AIMÉ JULES ET, J'AI AIMÉ JULIETTE VOUS SAVEZ POURQUOI PARCE QU'IL ÉTAIT UNE SEULE ET MÊME PERSONNE. Et de cette résonance incessante de deux Mouvements Inverses. D’être, une seule et même personne, si éloignée du ressac où la vague franchit le Rivage. 17 Août 2014. Pour une Escale indéfinie qui Fluctue entre l'Insolence de l'Identité Féminine et la quête d'une Extrémité Insidieuse... 10 Septembre 2014. Elle est L’amante des flots bleus, des Lagunes et de Venise, d’un Été Exubérant qui trouble la presqu’il(e) habité de cette rencontre-là. Venise. 27 Août 2014. Elle est cette image et la Puissance du Mystère et d'une Étreinte voguant très près du bord. 29 Septembre 2014. Elle s’invite à la transparence des Ombres, derrière le Masque d'une légèreté qui se dérobe à la mutation de Revirements Incessants.18 Octobre 2014. Où l'émergence D'être Née Femme par Nécessité. Ce Féminin Pluriel ne peut s’effacer par inadvertance. 19 Octobre 2014. Ce serait la fidélité Oxydable, Inoxydable qui s’étreint de ce paradoxe. 28 Octobre 2014. Elle est ce reflet d’une Lueur Atlantide et d'un continent qui a laissé place à ce Masculin suspendu pour une Féminité qui s'échappe nimbée de mystère. 5 Novembre 2014. Elle est l’Écorce d’un corps portant l’insularité d'une Audace Furtive... Et L'invisible ART/MUR d'une évidence resté collé à ce

tremblement... D’une Femme D'altitude transgressant l'existence d'une Faille. 10 Décembre 2014. Pétri de souvenirs et de rumeurs mêlés à l'exil. Elle est cette fêlure qui souligne L'Éclosion des Différences. Entre les coursives d’une

loge de cabaret, les lumières de la nuit clignotent par éblouissement sur le respect persistant D'un SIGNE. Qu’elle EST. 25 Septembre 2015. Elle porte L'indifférence d'un Artifice. L'extravagance de ce qui ne peut pas se Dire. Incessamment Troublée. Dans ce BLEU AFFECTÉ ET VISIBLEMENT LIÉ par la flagrance d’un Rivage/Consacré. Là s’est inscrit irréversiblement en point de suspension... Une lettre subversive de ce Corps/D'Amour/Murmurée/Jamais/ Envoyée/Ni/Timbrée/Restée/En/Poste/Restante... Avec Signature... EL Inachevée... Et de l'une à l'autre persiste L'inversion d'un paysage. © Camille Rochwerg  1er Décembre 2016 pour Zazie de Paris. Texte publié sur L'ivresse D'UN ATTENTAT D'AMOUR 

SI SINGULIÈREMENT VENISE

SI SINGULIÈREMENT VENISE

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ZAZIE DE PARIS

ESSENTIELLEMENT VÔTRE

CE SERAIT UN ACTE DE VERTIGE, Inaltérable, Il était une fois, Si loin, si vrai, Le générique d'une escale, Le péril d'inhabité ce monde, Dans l'effleurement de ciels vulnérables, D'une destinée, D'un silence et d'un arc-en-ciel, Impromptu assourdissant éventé, Dans un écrin de certitudes, Sur la mer insalubre, Dans l'excellence, D’un froissement de lumière, Oxydable, Inoxydable, Éclaboussé de sérénité, D'étreindre ce multiple reflet d'un rêve qui veille, sur L’être destinée, L'impromptu assourdissant d'un sol éventé, L’excellence de cet écrin de failles, La griffe indélébile d'un temps scellé, Déclenche le déclic d'un flux incessant, D'une particule effacée, Le négligé d’un soir, D’une détente après la pluie, Portant la fêlure d'être dans une nuit, Où L'insolence du feu, Les miracles, L'insulaire féminité d'une île à dérivé sur Ce cahier qui s'appelle la vie. Il y a des visages qui sont des écarts, Il y a le paradis et l'enfer, Le champagne, Et les rêvalités d'incertitudes entre la sève et la cicatrice, À l'instant même du naufrage, Il y a l'antre invisible d'un chaos, La nuit d'une couleur assassine, L'in-exception, Les elfes de la nuit, Célébrant l'être et la beauté, Divine, La bifurcation pour effleurer un regard d'amour, Entre les coursives du théâtre s'est échappé Le ravissement d'une histoire, Cette histoire, Comme un vêtement qui garde les traces d'une identité sans préserver l'appartenance, Porte cette audace singulière, D'une remarquable ascension, Frôlant une décadence indécente, Un désastre annoncé, Une magnifisens, Elle penchée sur le piano, Un soir de paillettes. Quels secrets, S'écrivent, comme ça sur la peau ça marque et ça emporte, Ces abandons... Ces douleurs perdues, Finalement, Ce serait une désolation d'interdire.... De vivre, Entre les êtres qui scintillent et les êtres qui ne scintillent pas. Comme les étoiles qui scintillent et les étoiles qui ne scintillent pas. Victor Hugo. OBJET VIRTUEL ESSENTIELLEMENT VÔTRE. Pour ZAZIE DE PARIS  © Camille Rochwerg 20 JUIN 2014

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CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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