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ZAZIE de Paris Invincible Nuit!!!

CAMILLE EL INACHEVÉE

ZAZIE DE PARIS L'INVINCIBLE NUIT

ZAZIE de Paris Invincible Nuit!!!
L'INVINCIBLE NUIT

L'INVINCIBLE NUIT

L'ENFANCE

L'ENFANCE

À LA LISIÈRE D'UN RIRE INUIT L'ENFANCE

Si l'on pouvait simplement retrouver le rire avec lequel, Autrefois... Car l'on revient toujours sur le même lieu qui surgit en apparence immuable... Et pourtant... Il nous arrive de sentir qu'en marchant... La lisière incertaine de ce rire brisait le silence... Le rire investit peu à peu l'espace, on ne le sent pas. Il se réfléchit sur l'ombre de vos nuits mystérieuses. Seules les lèvres élancent des gestes de tendresse et l'on accepte que l'autre vous touche sans s'enfuir. On laisse la main effleurer... Franchir l'orage... Se faufiler sur le corps... Ces passages de vie caressent des multitudes... Des lenteurs qui se répandent sur le sol ainsi qu'une trace... Une trace de l'écho dérisoire inuit... De l'enfance, il faudrait en parler. De cette attente, Il faudrait explorer, ce cratère si près de l'attouchement des fêlures qui caressent cet état d'abandon et en même temps. Tout va si vite tout est là.... Regardez la vie vous offre ce qui survient. De plus vous savez, Écouter. Entendre... Et Vivre j'oubliais... Alentour, je sens de chaque geste, ce rire si bleu qu'il dévore le ciel... Je vous écris après l'orage né du vertige longtemps imminent Rouge d'impatience... © Camille Rochwerg 12 Aout 2014 

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

À LA LISIÈRE D'UN RIRE INUIT L'ENFANCE

Si l'on pouvait simplement retrouver le rire avec lequel, Autrefois... Car l'on revient toujours sur le même lieu qui surgit en apparence immuable... Et pourtant... Il nous arrive de sentir qu'en marchant... La lisière incertaine de ce rire brisait le silence... Le rire investit peu à peu l'espace, on ne le sent pas. Il se réfléchit sur l'ombre de vos nuits mystérieuses. Seules les lèvres élancent des gestes de tendresse et l'on accepte que l'autre vous touche sans s'enfuir. On laisse la main effleurer... Franchir l'orage... Se faufiler sur le corps... Ces passages de vie caressent des multitudes... Des lenteurs qui se répandent sur le sol ainsi qu'une trace... Une trace de l'écho dérisoire inuit... De l'enfance, il faudrait en parler. De cette attente, Il faudrait explorer, ce cratère si près de l'attouchement des fêlures qui caressent cet état d'abandon et en même temps. Tout va si vite tout est là.... Regardez la vie vous offre ce qui survient. De plus vous savez, Écouter. Entendre... Et Vivre j'oubliais... Alentour, je sens de chaque geste, ce rire si bleu qu'il dévore le ciel... Je vous écris après l'orage né du vertige longtemps imminent Rouge d'impatience... © Camille Rochwerg 12 Aout 2014 

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

CE SENTIMENT PEUT-ÊTRE UN REGARD. Le débordement d’aimer. Le ravage d’un incendie d’aimer. La perte inexorable d’aimer. L’outrage d’aimer. L’imperceptible pudeur. La folie d’un passage. L’irréalité inessentielle. La désinvolture d'un geste. La frivolité d'un sourire. L'exaltation de l'ombre évincée. Le sentiment d'illusion. L'indifférence d'un artifice. La magie du charme. L'instinct de silence. L'apparence d'un refrain. Le crépuscule exalté. L’instant inaltérable. L'échancrure d'un destin. L'appartenance à la vie. L'art-dense trépidant. L’infernale blondeur éternelle. L’invincible couleur rousse qui s’effraie de cette coincidence en trompe l'oeil. L'envers clandestin d'une histoire. L'enfer du noir éclaté. La réverbération des lumières. L’effervescence obstruant la ville La Nuit, le Jour. L'extravagance de ce qui ne peut pas se dire. ÉMUE PASSAGÈREMENT. Éventaire Inachevé. © Camille Rochwerg  

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

REVENIR SUR L'INTERFÉRENCE  D'UNE SEULE CERTITUDE QUE J'AI. 

CE SERAIT LE LIEU INVISIBLE ET LE REFLET, D'UNE LÉGÈRE BLESSURE... Qu'il est facile de briser. La vie étant déjà un voyage, suspendu. D'être Femme, frôlant les clichés féminins du désir idéal. Elle, s'écrit en majuscules, très tôt, il y eut la certitude à corps perdu de l'utopie des passages, des chemins buissonniers, des impasses, d'un temps insolite magnifié. Rouge par immersion. C'est peut-être aussi de la chance, si par blessure, l'envahissement vers ce qui était encore imprécis comme toute chose en ce monde, née de cette impatience. À caresser le rêve d'un labyrinthe, de miroirs reflétant les multiples sorties de secours. Au théâtre, elles sont vertes, inépuisables, et aucune d'entre elles, ne peuvent traverser ces écarts de poussière qui ont aspiré cette collection de souvenirs d'enfance. Du féminin, persiste cette séduction simple et mystérieuse qui s'est glissée sur les bruits éveillés de l'enfant qu'elle fut. Mais il s'agit d'autres choses... C'est l'issue d'un film et d'un livre, dont j'intercepte toute l'importance. Et je ne réussirai pas à suggérer l'ombre ou l'éclat de ce film car je l'ignore. Tout reste ouvert, le rôle est initial, il porte son Nom. C'est le soupçon et l'indécence d'une entrée de scène. Le mot fin serait effacé, somptueusement, car il n'y a pas de fin. Il est destiné à trouer cette frontière visible et subtile d'une blessure, qui oscille de l'une à l'autre, sur l'exclusivité, d'une impureté par excellence. Forgé par l'imprévu de l'écrit qui conduit à ce parfum d'un commencement, par l'inadvertance où s'affirment les différences, de l'identification d'un sexe à l'autre. De l'amour et du transfert. Le sentier reste étroit accidenté, dissocié, le murmure d'un destin, incessant sans secret qui s'écartèle sur l'immobilité naissante. De cette proximité, de toute évidence, excessive, cette respiration flâne pour revenir au port simplement sur la trace admirable d'un temps partiellement effacé du sacré. C'est ce qui ne se voit pas... La rencontre silencieuse d'un ciel incertain, le noir du plateau d'où émane ce chant de l'antre du monde inondé par la révélation de la lumière. À certaines heures, la pleine lune inonde ces lieux inconnus de la nuit. De ses nuits illimitées de disparitions... À cet égard, et sur ce bleu d'outremer(e), lorsqu'elle était enfant... In-séparée de ce qui l'a mise au monde, Elle aperçut le grand large. © Camille Rochwerg le 10 AOUT 2014 

VENISEVENISE

VENISE

VOUS L'ÉCRIVEZ COMME UN PORT D'ATTACHE . Dans ce silence opportun... Indéfinissable sont les interférences. Vous persistez à porter sur ce regard l'irréversible accueil d'écouter la multiplicité d'un horizon dérouté par la lumière. L'auréole infinie des fêtes s'échappent de l'attente. Sans failles... Ce que l'on peut - a peine toucher du bout des lèvres. Nous l'effleurons de l'illustre humidité d'une variation souvent immobile. Les façades inscrivent leurs secrets. De ce Rouge, versatile qui se déplie sur le rose, ainsi l'orange a certaines heures éclairent les lignes verticales préservant inlassablement cette illusion qui s'abandonne. Là s'écrit par surprise les sonorités d'une langueur océane d'une fin d'été. La beauté éphémère et impérissable. Le luxe éternel d'une parure sur l'insaisissable. Là où les rues désertes d'une fin de nuit inventent la passion des solitudes, des amants, Qui s'enlacent sur cette éternité. Le diamant émeraude éclaire cette escale rouge. Et vous invite à cet appel du dépassement. Une opportunité, d'un rendez-vous distrait et in/discrètement VOTRE. Extraits en attente D'émotions simples. Merci pour ZAZIE © Camille Rochwerg 4 AOUT 2014

J'ÉCRIS SUR DES FLOTS BLEUS HABILLÉE DE VOUSV. Sur cette nuit d'hiver ou votre voix m'a interpellée. Et de ce regard porté, il me reste cet espace adjacent, d'où la possibilité d'une Fiction et d'une ÎLE. D’où j’avance suivant le mouvement de la mer, insidieusement épars… J’en préserve l'éclipse, d'un départ d'une ville si loin infranchissable. Berlin. De toutes les villes traversées par ces voyages de Cinéma et de Lever de Rideau Rouge, votre couleur de préférence. Votre voix n'a pas d'accent. Le mot AMOUR interpelle dans toutes les langues un flux et un reflux incessant. Le A est une Avancée, le M un Repli, le O une Osmose, le U une Ouverture vers le haut le R conjugue cette Arrivée et ce Détour d'un final comme le signal d'une invitation. S'offrir… A ce qui survient… Aux fêlures de la mer morte seulement étale qui s'éclabousse de sérénité. VOUS l'écrivez comme un port d'Attache. Ici et ailleurs, les ports s'éraflent de votre disparition. Avec la conscience que vous portez de ce regard et sur cette terre au loin ou les décombres s'écroulent. Là ou les amants séparés s'éveillent de leurs séparations. Là où les rues désertes d'une fin de nuit inventent la passion des solitudes. Qui s'enlacent sur cette éternité. Au large d'une terre inconnue, les yeux tournés vers ce mur, où se déposent des papiers perdus et brûlés. Signe d'immortalité, et d'espérance, signe d'une guerre désaffectée. Là où la mémoire s'efface et s'élève éloignée du bruit des lumières et d'une guerre. Sans faire de bruit, la vie vous surprend de cet écartèlement. Inventant le charme solitaire d'éventrer les solitudes si impuissantes. Sans renoncer à l'infortune des reflets qui dansent sur cette vie. Pour la vie. Seulement le rêve de la vie. L'ENVIE. De cet éblouissement, fasciné et séduit de tout ce qui reste si invisible. Qui frôle cette humanité, celle inventée de rester Aveuglée et Meurtrie par asphyxie, Éraillée d'incertitudes, Irradiée par les étincelles. De L'inséparable. Bleu affecté d'insolence. Merci © Camille Rochwerg 5 Aout 2014 

 

 

ZAZIE de Paris Invincible Nuit!!! ZAZIE de Paris Invincible Nuit!!!

L'INFIME DE L'AUTRE ELLE SE TIENT SUR LE BORD DE LA SCÈNE D'UN ABANDON et d'un sourire qui s'est enraciné et confié à cette élégance sans laquelle l'insolence chaste et divine de l'acteur ne peut s'écarter. Quelques instants d'une dissidence indignée, digne de porter l'infranchissable présence des mots. Écrivent cet exil, d'un pays qui ne porte pas encore ni d'existence ni de territoire. Il se déplie sur l'intensité qui nous habite. De Flâner... Sur ce regard. Elle avance, et se tient sur cette extrême limite d'un seuil, du respect et du monde. Parce que d'autres désinvoltures viennent investir ce champ d'expériences, et brûlent cet espace. Nous portant à s'affranchir d'un autre geste avoué... Celui d'une référence de l'existence sur l'infinité. Parce que "Les nuits d'été" impriment cette autre voie. D'être fou, d'être imprévisible, d'être dans cette séparation, qui s'ouvre de l'être, cette faille, cet instinct d'éternité qui s'engouffre sur ce cri perçant où nous glissons immobiles. Ce qui souligne cette liberté de dire ce que nous percevons de ce silence d'une vie qui S'ATTEND. D'être ATTEINT Sans Cessez D'ÊTRE. © Camille Rochwerg 22 Aout 2014 

LA NUIT S'ÉGARE SUR LES PRÉMICES

D'UN INSTANT DE NOIR LUMIÈRE

SUR SON ÉPAULE DÉTOURNÉE EN EXCÈS, DE ROUGE. Le visage que vous portez est une déchirure de couleurs... Votre voix un attentat d'amour. À peine une respiration sous un corps... Apocalyptique, cette insolence rouge et bleu a votre mesure. Éclaire le désordre fertile de vos nuits qui laisse ce goût imprévisible… Quelque chose nous surprend de cette immobilité hors limites sur l'insensible mouvement invisible des noirs, d’où l’on pourrait s'éclairer de l'aube naissante qui préserve cette odeur de séduire le soleil... De ces nuits-là argentés qui s'éveillent d'un éclat Céleste… Et qui se plie d'accueillir l'ondulation singulière... A la surface d'un jour qui renaît. Juste un instant La peau se sèche de l'humidité sur vos lèvres comme une averse déjà passée... Il y a la peau qui s'infiltre sous l'habit qui hurle de son exil... Il y a la peau sous la trace d'un doigt qui se tait par l'effacement de sentir une éventuelle partition d'un geste de reconnaissance. Il y a la peau qui s'endort comme un papier déjà froissé de son étrangeté et de sa froideur qui l'encombre. Il y a la peau qui frappe le vent incessant de son écorce d'odeur pulsant l'envol des oiseaux longeant la mer... Il y a la peau qui se découvre de ses paillettes complices d'effeuiller le temps qui s’attarde à lâcher les moindres résistances... Seul acte égaré de ses repères qui creuse la clarté d’un miroir lisse aveugle... Ou les corps sûrs... De l'amour expulsé du coeur des choses. Vibrent sur ces yeux-là et sur cette fin de phrase... Lorsque j'étais enfant... © Camille Rochwerg 14 Août 2014 

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

DE TOUTES LES GARES 
LE SECRET DES FAÇADES

ÉLOIGNÉE DE L’ARTIFICE ET DU VERTIGE

BELLE ÉCHAPPÉE SUR LES PASSIONS Secrètes, sur d'autres CONTINENTS et vos ÉCLATS DE RIRES, LES PASSERELLES Incrustées, LES LABYRINTHES D'une trace, LES FRÉMISSEMENTS Frôlant la nuit, LA PAGE SILENCIEUSE d'un Sentiment distinct, LE DOUTE D'UN VERTIGE Vertigineux, LA CONSCIENCE Sculptée d'un corps, L'ESTHÉTIQUE de Faux semblants, FLOUÉE DE Rafales Soulevées d'une respiration, ESSOUFFLÉE, Éblouie par les sillons de la vie, ET LE FILTRE Invisible du Scintillement DE VIVRE. © Camille Rochwerg  11 Septembre 2014

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

UN SI BEL ITINÉRAIRE SUR CETTE HEURE IRRÉGULIÈRE DE L'ÉTÉ, Elle s'était préservé d'une Venise Solitaire. Et ce couchant l'accompagne. D'une tentation si Grande D'ÊTRE. D'une conversation sur le port élaguée dans ce corps de femme. L'impossible. D'une flamme, et d'une partition de l'âme refuse de s'éteindre. De la sur-exposition, d'une révolte, elle affronte les risques sans retranchements, ni sages ni assujettis de plaire, rarement silencieuse, ardemment extrême. Zazie de Paris incarne la spirale d'un aveu de ses effleurements secrets, et de ses blessures inavouées. De Venise à Berlin, se dessine au cours de ses propositions cinématographiques et théâtrales, cette recherche expérimentale de son regard humaniste. D'indiquer le chemin vers un destin complice et unique de renoncer à l'injustice. Un bref instant, la rumeur d'un ravissement traverse l'étape de la Femme, qu'elle est, sans embarras de l'apparence. C'est évident à vous regarder, l'éblouissement est passager, car ce qui importe, c'est ce tellement beau d'une (apparence) plutôt d'une dignité, épique contrastée. Cette alchimie de passer de l'ange au démon, vacillante d'incertitudes et de certitudes. De ces éclairs de vérité, il reste une beauté qui n'a pas honte de ses rêves impudiques. Elle tend à ouvrir les brèches, d'une résistance qui nous convie à s'interroger sur ce monde qui tangue, susceptible de se dérober sur l'apesanteur. A contre courant, projeté, Zazie résiste et s'engage sur le décalage troublant de ravir la grâce de l'écume qui sillonne cette tempête silencieuse. Le temps d'une phrase, sur ce film. Les Nuits d'été présenté aux VeniceDays de Mario Fanfani S'écoule la partition D'IL(E) et D'ELLES « J'AI AIMÉ JULES ET, J'AI AIMÉ JULIETTE VOUS SAVEZ POURQUOI PARCE QU'IL ÉTAIT UNE SEULE ET MEME PERSONNE » Et de cette résonance une nouvelle étendue s'ouvre réaffirmant ce mouvement incessant de deux mouvements inverses. D'ÊTRE, une seule et même personne, si éloigner du ressac où la vague effleure le rivage et illumine l'écran. © Camille Rochwerg 7 Septembre 2014 Pour Zazie de Paris LES NUITS D'ÉTÉ de Mario FANFANI ONT obtenu LE QUEER LION de VENISE !!! 

ZAZIE de Paris Invincible Nuit!!!
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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