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ZAZIE de Paris Timbrées de Mystères!!!

CAMILLE EL INACHEVÉE
  • ZAZIE DE PARIS 

  • TIMBRÉES DE MYSTÈRES! SI SINGULIÈREMENT VENISE

ZAZIE de Paris Timbrées de Mystères!!!
SI SINGULIÈREMENT VENISE

SI SINGULIÈREMENT VENISE

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

LE PLI D'UNE CONFIDENCE C'EST PEUT-ÊTRE JUSTE LA MÉTAMORPHOSE D'UNE HISTOIRE. La trace d'un parfum, le mystère scintillant, la subtilité d'un instant invité ou s'érige le luxe surprenant. De l'indépendance d'une femme à la beauté grave, la grâce d'un clair-obscur crépusculaire. L'éthique imprimée d'une image collectée sur les écrans, le cinéma défile. L'icône Berlinoise symbole d'un chic talentueux et sublime chevauche tous les itinéraires du théâtre au cinéma, à la scène... Elle chante l'effritement d'un silence, écorché d'un amour sur l'accordéon ludique d'une nostalgie peut-être. Le souvenir d'un mur s'effondrant. De cette folie d'un monde. Zazie de Paris ne se laisse jamais enfermer dans un genre, la scène s'illumine de son apparition, d'une exception Lyrique. Enchantée. Son destin aurait pu être celui d'un danseur puisque c'est pour cet art qu'il a traversé pendant douze ans le parcours de Maurice Béjart. Et puis les cabarets Rive Gauche. Les fins sans nuits... Cette folie, ces regards détournés sur les hommes... La vertu, L'excellence et L'inconvenance de l'extase Divine peut-être. Découvrant, plus tard, ce qu'elle rêvait d'être: Une Femme dont la parure s'étincelle de pertinence.
Elle a surement beaucoup de choses à dire sur l'audace d'une transmission, la transgression de certains passages d'un genre à l'autre. Se laissant traverser par le destin dévié. D'une évidence. Dévier sur la fin de l'innocence. Se démaquiller de cette couleur subtile sur la vie. Magie rigoureuse de ce premier émoi de l'adolescence. Cette perception du miroir dont le reflet se ravit d’appartenir à la femme.
Infiniment proche de la rareté volatile du sens de la vie et de l'expérimentation de l'excès des labyrinthes. Le risque et l'influence des obstacles, s'est imprimé sur cette liberté, d'une sensible écoute sur les illusions perfectibles, dépourvue de prétentions, saturée d'un temps qui peut rester à l'arrêt. Pour atteindre l'émergence, l'origine d'un projet, d'une inflexion, d'un souffle, qui s'est approprié les arts du corps, de la rigueur et des murmures de L'ORIENT. 
Jaillissant de cette soif insatiable sur l'élan, de séduire l'intrigue d'un désir sacré. Et s'éloignant de ce sourire estival sur les iles à ciel ouvert, dans le suspense vertigineux de porter ce regard sur l'équinoxe et la beauté des nuages. La frêle lumière des étoiles souffle sur la diversité du crépuscule de ses nuits. Elle se tait pour se laisser toucher par l'insolence d'une qualité, et c'est à cet endroit de l'acte lié a ce choix d'une vie irréversible et vivante que l'intuition d'une Encontre apparait comme un récit, une volupté peut-être, exaltée d'une signature incontournable. Sans apparence. Au delà de cette limite D'ELLE. De L'illimité.............. etdecette@limitationsiimpossible......
© Camille Rochwerg 26 Septembre 2014 

SÉRIES LIMITÉES

SÉRIES LIMITÉES

À CONTRE CORPS,  La mer a cet endroit parlait d'Elle et de son sourire, @timbréesdeMYSTÈRES!!!! D'un bonheur qui s'enivre d'un chant solitaire silencieux proche d'une exaltation. Sur les rives raffinées, révélées, fragiles. De rêver à cet accord sublime du silence. D'échapper à ce bonheur secret secrètement ouvert sur ces ports dont l'odeur s'effrange au-dessus des voix qui s'absentent certains jours obstrués par le vent qui s'engouffre sur cette obscure fidélité, duvertige@etdel'éblouissement. Ces mots résonnent, Elle écoute, Elle entend ce qui est vivant, decette@limitationsiimpossible. Car Elle est cette inépuisable intersextion@del'illimité. D'une vie qui se faufile, qui traverse le corps irrigué, qui s'écoule de Berlin à Venise, s'inondant dece@culteduplaisiretdusens. La Méditérannée. L'improbabilité d'une ile. Elle s'épanche et sourit à ce bleu qui s'évapore d'instinct sur ces images qui reflètent undésir@detoucher enfin cette immobilité vivante. Dans cette@évidencehurlantedevivre. Cherchant à l'ombre de la lumière et s'échappant depuis longtemps de l'inconvenance. Depuis ses tréfonds de femme, jusqu'à la lune. vousportez@ceregard'aimerd'êtreaiméseulementaimé. Chaque femme le sait. Il faut laisser ce temps infiniment plus libre s'ouvrir, surgir à la recherche de ce leverderideau@Surl'îlenchanteresse!!! L'autre d'Elle@uneîlentrelecieletl'eau un peu plus féminine. Et l'une de l'autre, jouant, jouissant, se ressourçant sans cesse, sans cesser d'être le recommencement d'une vague qui se jette dans l'écume sans jamais se laisser altérerpar@cedegrédelibertérebelle. Telle, que le risque serait de frôler@unamouremportédedésir, si ouvert, que l'opposition de l'un ou l'autre sexe produirait un mouvement d'échange vertigineux@desdeuxgenres, sans que l'un asservissel'autre@absolumentinsoumise. Si cette histoire est possible, autravers@decetteoeuvred'arttravestiedevérité. C'est que déjà quelque chosed'impossible@icimaintenantestpossible. Le corps s’enivre sans se perdre de l'ensevelissement sur l'horizon et la mer. © Camille Rochwerg 23 Septembre 2014 D

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

UN BATEAU POUR NULLE PART AU-DESSUS, DES IMAGES,  UN BATEAU POUR NULLE PART   L'instant interpelle par la sérénité des lieux, la perte et le flou des couleurs qui laisse filer le temps, les saisons. L'écriture d'un temps arrêté. Sur les cartes postales, de notre enfance, qui se glissaient dans les boites à lettres, il y avait ce bruit du matin à l'heure du café. Ce quelque chose qui a disparu. Ces cartes postales aux bords détaillés que nous recevions comme certains mots se soulignaient sur le versant, d'intimités signés "Encore quelques JOURS d'été ... et de promesses d'évasion!!! " Ces interlignes de vie qui s'offraient à ce qui restait encore caché d'une histoire, d'un moment, de ce que cela pourrait être, si nous lui donnions un espace pour exister. Le soleil intense de l'été traversait l'illisibilité de certaines écritures, il me reste une photo reçue par courrier signée sans que je n'ai jamais pu lire la signature. Objet insolite préservé comme une offrande d'un être inconnu. Ces secrets très intimes racontent une histoire dans le silence. Parfois, il n'y a pas de réponse. Comme une lettre perdue. Qui s'efface par l'encre elle-même. J'utilisais des feutres dorés pour écrire sur des calques. Et cet effacement... Interrompu. Comme l'effroi de ne plus recevoir d'écrits devenus virtuels. Digne d'un silence éternel entre deux êtres. De la carte postale enfouie dans ces cartons oubliés scotchés et agrafés qui consisterait à offrir de la retenue, des intervalles de vide, du temps et de l'espace... Ces enveloppes étaient cachetées pour éviter, les regards indiscrets... Ce qui trahit les rencontres seulement de se toucher, ce sont ces instants remplacés par l'émail.

@uneîlentrelecieletl'eau
@oùlebleuducieletlebleudel'eaunesefondentpas
@maissecaressent @al'horison @Hydra...
îleicomparablementbelle
@excusezmoipourlatransformationdescouleurs @l'inconsistancedeslogicielsphotographiques
@l'éphémereillusiondesimages
@zaziedeparisvagabonde
@zaziedeparisdernièresnouvelles
@zaziedeparissansescarpinflottesurlamer
@elleestcettemajuscule
@zaziedeparisasuivre
@lavieestuneinnombrableinterférence. 
© Camille Rochwerg

ZAZIE DE PARISZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

REVERS IRRÉVERSIBLE D'UN REFLET
SI UN VISAGE RACONTE UNE HISTOIRE, DE L'AZUR COBALT D'UN BLEU PÉTROLE. Au charme contrasté mixé d'un zeste de couleur pourpre. Elle est cette Atlantide d'un continent qui a laissé place à ce masculin suspendu pour une féminité qui s'échappe nimbée de mystère. L'admiration et l'exotisme d'un mot emprunté aux clichés d'un reflet. Un long foulard de soie porté en écharpe, elle apparait réconciliant ce jeu de piste d'un accord de piano parfait. En coulisses, la discrétion est de rigueur, longtemps réservée à l'intimité. Il faut revenir sur la grâce des icônes qui font rêver. Sur la fascination, sur le territoire inexploré, repaire de créatures divines ou infernales. On se laisse séduire par cet abandon de chemins imprécis sur les silences incertains. L'œil perçoit l'impertinence, les regards scrutent l'effervescence, de la réverbération des cabarets a l'éblouissement d'une image incrustée. Il serait inconcevable d'apparaitre le cil nu épinglé d’un sourire qui résiste à l'eau et aux larmes des lumières artificielles. D’une île d’ell(e) L'enfance revient et s'imprime sur des pellicules périmées, il y a des clichés, écornés, griffés, voilés, de cette patine de souvenirs, de voyages, de pays fantasmés. Passeur clandestine. Insaisissable. Quelle que soit l'invitation sur un tango renversé, témoin d'instants inoubliable. Zazie de Paris trace cette échappée insulaire arrimée au vertige de la passion qu'elle suscite. Le noir souligné d'or décline le parfum du sirocco qui s'épuise sur Berlin. La ligne invisible d'une lumière crue sur Paris déborde sur l’ombre de la lagune. Venise intercepte l'appel des îles émerveillées qui absorbe les couleurs. D'une moiteur tropicale paradisiaque.Sur le grand large, elle est ce récif immergé qui réapparaît dans la brume maritime, dans l'éclat du soleil levant. Qui lève l'ancre. Sur la rumeur d'un ailleurs lointain, d'un rêve amoureux pour s'y perdre. Et sur cet instinct d'une métamorphose exfiltré d'un destin longtemps resté secret. Épuisant ces quelques lignes qui pourraient devenir l'estuaire d'un fleuve. L'histoire d'une vie. Perçue comme une passion intacte des différences. L’on sait que les îles préservent ces limites rassurantes dans une arène sans frontière. On se souvient, qu’elles sont des refuges qui veillent les remparts de rêves égarés, d'exils abrités. L'on sait qu'une îl(e) d’ell(e) se mérite, que le bonheur d'y séjourner se mesure à la difficulté d'y parvenir, de l'aborder comme une terre isolée. Brisée sur L'irréversible désir de Vivre. © Camille Rochwerg
@TIMBRÉES 
J'adore@laviestimbrée 
@timbréesdeMYSTÈRES!!!! 
@vousdel'ivresseauvertigedel'éblouissement
@vouscettelimitationsiimpossible@vousceculteduplaisiretdusens
 @vouscetterelationintimepartagéedesecretsin-oubliés
@vouscetteséductionsisolitaire
@vouscetteévidencehurlantedevivre
@vousportezceregard'aimerd'êtreaiméseulementaimé
@vousl'infinilégèretéaudessusdespontslanuitaVenise @vousceregardquis'illusionnesimplementsurlesétoilesfilantes @vouscedegrédelibertrebelle 

 @vouscetteoeuvred'arttravestiedevérité
Zaziedeparis@cettehistoireasuivre
UN BATEAU POUR NULLE PART! © Camille Rochwerg
ZAZIE DE PARISZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

VOUS ÊTES BELLE MADAME  DE CETTE VÉRITÉ.

D'UN LEXIQUE ET D'UNE LOGE DONT LA RÉVERBÉRATION D'UN FRISSON SUR LA PEAU S'EST GLISSÉE. L'ombre de vos nuits ne s'imprime pas de blessures, il y a la distinction d'un rouge à lèvres rouge carmin qui s'embrase de secrets sur les villes de désirs chavirés. L'alarme s'humecte de votre voix froissée d'étincelles aveuglantes. L'inquiétude de l'étrange à effacer le brouillard d'une traversée de lune. Il reste le calice d'être femme dont les subtilités s'ouvrent sur le répertoire magnifié. D'une empreinte et d'une nudité d'incarner le chic et l'élégance. Vous avez reçu la grâce... D'un charme qui se murmure tout bas.

La rumeur de ce sourire fertile en dessine le tailleur du matin. L'allure exacerbée d'une robe suspendue sur l'intimité d'un désert couleur du sable des Ils (Iles) Sur la retenue indiscrète et délicate d'une robe de ville. Sur une robe pour un rendez-vous d'après-midi. Sur la robe d'une fin de journée pour un café. Sur la robe d'un grand soir, avec les rouges profonds et les bulles d'un Champagne Rose. Sur la robe de cabaret éclairé des lumières de métal et de ses bleus intense d'une aurore dilués d'encres noires. Votre paraphe. De Plumes et de Boa Rose. Sur la robe pailletée ou s'est glissé l'effraction d'une danse. Sur la robe a rayures de poix blanc et noir déchirées de lambeaux pour la revue Éclat d'un soir avec D.B. Sur la robe des villes d'eaux, dans les sillons déliés, l'élégance d'un déclic sur son visage. En marge, l'extravagance d'une robe d'été de plage traverse la solitude désertée du reflet incessant de la mer. Sur la plage du Lido face à L'Hôtel Excelsior, la robe s'esquive sous le flash des projecteurs et sur la montée d'un tapis rouge scotché pour l'événement. Dissimulant l'écart désinvolte d'un artifice, le faux-semblant de la nuit, les éclats de voix grisés, peuplées de possible qui laisse tracent de recevoir cette tige de fleurs rares. D'UN ABSENT AIMÉ. Pour Zazie de Paris © Camille Rochwerg Le 15 Octobre 2014

ZAZIE DE PARIS VOUS ÊTES BELLE MADAME DE CETTE VÉRITÉ !!!

ZAZIE DE PARIS VOUS ÊTES BELLE MADAME DE CETTE VÉRITÉ !!!

MIROIR D'UNE ESCALE 
MIROIR IMMERGÉ 
MIROIR DE Di-AMANT

MIROIR ROMPU qui se glisse dans la lumière réfléchissante de l'automne DORÉ!!!. (Sic) L'enjeu fluctue entre l'insolence de l'identité féminine. La PARTICULE d'une quête qui fixe L'INTÉGRITÉ d'une élégance. Et l'insurrection d'une extrémité insidieuse... L'AMANTE des flots bleus sur l'esprit du vent s'est échappé de l'été exubérant, des lagunes, de Venise. Entre les pages enfouies d’un dix Huit Octobre, les ÎLES insulaires se faufilent sur le temps d’une robe, le temps d’une voix et d’un lexique intime. TÂCHE IMMENSE DE SE SURPRENDRE de s'attacher à un être Multiple... Le mot (L)OVE s'est délesté de son apostrophe et clignote sur un cœur rouge. Il se conjugue au pluriel avec cette décence inhabituelle de s'effrayer lui-même de son passage. Et sur ce détour merveilleux, il y a la passion de l'instant, survivant par éclipse sur l'unicité d'un autre mot. Celui de L'UN VERS L'AUTRE comme penché VERS. Pour sentir la puissance du Mystère suivi de la conscience entachée d'une Étreinte voguant très près du bord. Sur l'éclat d’un Di-AMANT. © Camille Rochwerg 29 Septembre 2014 Pour Zazie de Paris
SI SINGULIÈREMENT VENISE

SI SINGULIÈREMENT VENISE

LE LUXE D'UN (Genre)
D'UN LUXE... D'UN GENRE...
D'UN FANTASME. D'UN CHARME. D'UNE SÉDUCTION. D'UNE ATTIRANCE. D'UNE ÉCUME INATTENDUE. Se révèle sur ce cliché flouté où L’ombre s'est préservée de la Lumière. Écartant ce qui s'arrache avec secrets. La Beauté ou la Complexité d'un Geste... Il y a le Fil Rouge d'un Amour. Le Caravage d'une Audace et d'une Allure. L'exubérance d'un Strass qui s'est Égaré par Imprudence. Ce Di(Amant) solitaire qui sillonne l’Instant d'un Passage. L'univers Marin Féminin Singulier et Pluriel. d'une Fidélité. L’extase saturée d’une nécessité subtile de… Toucher à ce Ravissement. L’extrémité indiscrète d’une Mélancolie qui intercepte ce fil In discontinue de la Vie. L’amarre silencieuse qui a Cessé d’habiter ce Corps-Là. Le Luxe de ce Corps-LÀ. Qui s’est Écrié De Rester Vivant. Embrasé de cette Dignité. Perceptible d’atteindre un Rivage. Et de Traverser le Labyrinthe de ce Bruit-Là. Maquillé. Cet Ancrage, cette Césure Là... La Puissance qui s'éclipse sur L’infinité d'une Lèvre pigmentée de Pudeur. Et L'Art D'être. Sans Faux Pli. Insubmersible. A ce Fragment de Nuit d'un Rouge Effleuré et Scintillant... Les Yeux, la Voix impressionne déjà l'hiver qui tente de S'enfuir. Le Désistement et l’Éclaboussement des rayons du soleil Désemparent. Le temps du Café s’éternise de ce Silence. S'invite Le bruissement des talons d'une Ville à L'autre. Berlin... Paris... S’entrouvre alors L'horizon d'une Brume Lustrée, Métallique flottant sur la Façade et la Splendeur de la Fenice. La Page blanche froissée de ce Paradoxe portant votre Nom. M'a appris beaucoup de VOUS. Extrait d'écrits encore en attente d'être sensiblement Effacés. © Camille Rochwerg  Pour Zazie de Paris. Le 2 Janvier 2016.
SÉRIES LIMITÉES

SÉRIES LIMITÉES

S'ATTACHER À L'ACTEUR, À CETTE ÉMOTION SUBTILE ET SINGULIÈRE IMMOBILE QUI S'INSTALLE DANS LE NOIR DE SCÈNE... 

L'ACTEUR... À LA LUMIÈRE D'UNE RESSEMBLANCE. Se laisser emporter. Par cette déambulation entre les ports, les quais de lumière, où se dévoilent l'effluve d'un parfum rouge magnétique. Fatalement pigmentée sur le tracé. D'un roman-photo, d'une fiction… Sur ce visage se sont imprégné ces émotions arpentées de fragments sensibles, d'une extrême visibilité. Ainsi sous les éclaboussures de néon, sur l'asphalte d'un incendie, l’étrange inventaire de l'acteur composé de miroirs s'illumine par instincts... Balayant d'un sourire la vie, l'écart d'un geste, l'indiscrétion d'un noir pur. D'une trace qui préserve l'élégance diamantaire d'une chambre d'amour... Magistrale étreinte de toutes les intimités d'un silence. La scène installe cette mémoire qui au travers des strates de la nuit s'immerge dans ces villes vagabondes. Les méandres fascinent, les mystères de cet espace d'amour comme perdu et retrouvé. Initie l'attachement, les intervalles irréguliers d'une signature. Ou l'innocence parée, l'innocente parure décalée ne cessent de séduire ses yeux ailleurs. La ciselure éphémère de l'éblouissement des lumières griffe l'éclat des icônes. Là s'installe l'insoumission des libertés, l'art de l'esquive, la sublimité de toucher à la beauté influence ainsi l'envers du Des-Corps. En dessine le symbole. En préserve la retenue pour suspendre le glissement. D'un souffle, d'une altérité. Quelque chose d'immense, de très loin... Vient recueillir et séduire cet infini... Avant d'atteindre cette indépendance d’un jardin protégé... La scène offerte Attend.... Alors de sa loge côté cour le théâtre s'évente au lever du soleil, à cet instant côté jardin s'illumine la lumière d'un matin, l'enfer en haute mer inonde. Et s'invite à entrer en scène. Vu du ciel, discrètement le plateau devenu cette île irradie de son étourdissante différence... C© Camille Rochwerg le 25 Septembre 2015 Pour Zazie de Paris 

ZAZIE DE PARIS

ZAZIE DE PARIS

DE L'INDIGNITÉ À LA DIGNITÉ

AVEC LA TRANSGRESSION D'UNE FAILLE. NÉE DANS UN CORPS OBSTINÉMENT. DU MASCULIN AU FÉMININ..Toute ressemblance ou similitude... 

On peut avoir l'air d'être l'objet d'un désir, et en rester le maître. Être maître de son destin, de son genre. Jusqu'à ce que ce changement de sexe ne soit plus considéré comme la transgression. D'une extravagance sociale immaculée. Car l'une des forces de cette existence éphémère, est cet acte d'exil de n'être ou de devenir femme. Virevoltant au bord de ce monde, rester vivante noble. Traversée vers un avenir mythique, pour sauver, une chose légendaire dans l'interprétation qui pourrait porter le titre fabuleux de «la plus belle femme du monde » L'être a t'il le droit... De s'exiler d'une liberté... Les mots sont répétitifs accrochés à l'insoluble définition permissible, permissive. Soluble. Indéfinissable... Cette liste sur la vie transpercerait l'inaccessible... « l'attrape-Coeurs » si l'on ne retient que le titre de Salinger serait de lever le voile sur l'intelligence du cœur ou le silence raconte bien plus loin que les mots, l'improbable, l'improvisé, les limites enflammées défiées, de toutes les incidences. Compatible et sans hostilité préservant cette extrême Référence. Référence, ou Révérence. Là se trouve la subtilité du langage définitif. Saccagé par l'ignorance. De l'Indignité à la Dignité. Vous avez dit tragique, oui tragiques sont l'immortalité des modèles, des mensonges roses avec les poupées pour les filles et des mensonges bleus avec les pistolets en plastique pour les garçons. La robe et le rouge à lêvres s'écriront sur l'ivresse d'une nuit parallèle pour un garçon féminisé virant sur le choix d'une couleur et d'un rose parme. Seule armure infranchissable d'un secret caché. Où d'une insolence(Sic). La seule vraie différence, c'est le soleil qui se profile vers L'INSPIRE. De devenir AUTRE. LIBRE. EXTRÊMEMENT MUETTE. En liberté de PASSAGE PROVISOIRE. Merci. © Camille Rochwerg le 21 Janvier 2015 

ZAZIE de Paris Timbrées de Mystères!!!
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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ZAZIE DE PARIS

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