COMÉDIEN Doré Dimitri Armure D'amour

DORÉ DIMITRI UNE ARMURE D'AMOUR

UNE ARMURE D'AMOUR

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DIMITRI DORÉ RÉMI MISE EN SCÈNE DE JONATHAN CAPDEVIELLE

LIÉS SANS SE PERDRE RÉMI DE JONATHAN CAPDEVIELLE   Épris et somnambules déflorant cet effleurement de solitude. Ils se sont rencontrés sur ce paradis artificiel ouvert et encerclé de leurs fragments de fictions et de mémoires. Artistes bruissant sur le filtre de cette liberté fixant la respiration d'un élan qui souffle sur la scène. D'impossibles passions, ils sont ces pantins mécaniques, bateleurs et baladins réinventés de Tadeusz Kantor pétrifiés sous une référence de vie et de papier. Masques, voix ventriloques, radios désaccordées, frissons du deuil et du désordre. La réverbération en voix off du soubresaut glacé de l'enfance s'est éventrée de larmes muettes. Il y a tant de grâce sur ce chant de tendresse réversible de cet univers fantôme qui virevolte sur cet autre monde désenchanté d’une famille acidulée. Rémi s’offre à cette attente d’un lever du ciel sur ses yeux d’errance. Son identité s’abrite sur cette voie, traquée avec excès sur cette vie sans sommeil. Il se résigne de rester ébloui, surpris d'être happé par cette belle incision de lumières. Cherchant une autre voix ou d'autres chemins. Jusqu’à l’invitation et l’escapade de franchir l’épure inexorable, ou s’illumine l’acteur déployant son art sans départ et sans retour. Captifs de se perdre sur la survie et la déflagration des seuils aléatoires qui pourraient trouer l’insolence d’une splendeur. Et d’une vie offerte. Maitre séant, ils s'accordent la révérence d'espérer l'or lustré de ces éclairs d'orage, ils cherchent un coin d'azur et de bonheur pour un devenir. De ce possible espoir. Qui s’invite à la douce pénétration des ténèbres. Sur le fil de la nuit s'est enfuie l'indicible respect d'une marbrure qui tangue, précipités si incertains de ne pas rester étrangers de l'un aux autres. De l'utilité de se reconnaître. Liés sans se perdre... Sur l'inaltérable incision d'une altérité. D'instinct ils s'adressent sur l'inflexion d'un noir éclôt sur ce plateau enfumé.. ©CR 8 MARS 2023 Rémi /sans famille, le plus célèbre des personnages d’Hector Malot MISE EN SCÈNE Jonathan Capdevielle avec Doré Dimitri Robin Causse, Sophie Lenoir, Babacar M’Baye Fall

SCÉNOGRAPHIE JONATHAN CAPDEVIELLE

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DORÉ DIMITRI UNE ARMURE D'AMOUR

DORÉ DIMITRI UN FILM DE LAURENT LARIVIÈRE UNE ARMURE D'AMOUR

A PROPOS DE JOAN UN FILM DE LAURENT LARIVIÈRE

UNE ARMURE D'AMOUR

Joan s’illusionne de ses souvenirs de pertes et d’amours. Perçant toute indifférence entre fiction et quelques frissons de vies, elle caresse les amants retrouvés qui renvoient sur les miroirs l’image de ce qu’ils étaient et de celui qu’elle aimait. Joan s’illumine de cette mémoire en fuite vers ces jardins perdus. Où l’hésitation évoque les rencontres, les sourires, les je/eux et les états du corps qui se sont tus sur cette phrase… " Tu t’étais endormie " Le silence témoin transperce ce qu’ils seraient devenus. Ainsi touchant à la tendre distance de la mort, déchirée intérieurement d’entendre les voix de l’être préservé. Isabelle Huppert ensemence cette parole et ce cri s’élance sur ce champ devenu cet immense accord sacré de s’unir par la beauté. Et d’ouvrir cet inconscient des images. Ils s’offrent à l’écho, de l’être en fuite, de l’enfance à l’adulte, ils se racontent, ils se sourient, ils dansent, s’enivrent de l’altération. Elle parle d’elle-même… De ce secret déposé aimé et admiré. S’impriment les impulsions, les parenthèses, les illusions sculptées. D’un temps qui passe vers ce futur d’un passé destiné. Pour supporter la Fureur. S’illustre l’être d’un seul reflet unique, qui s’élance, se mue pour explorer de survivre, de se révéler sur l'échancrure D’une Armure d’Amour. © Camille Rochwerg Le 20 Septembre 2022. A PROPOS DE JOAN UN FILM DE LAURENT LARIVIÈRE avec Avec Isabelle Huppert, Lars Eidinger, Freya Mavor et Doré Dimitri

A PROPOS DE JOAN UN FILM DE LAURENT LARIVIÈRE - DORÉ DIMITRI EXTRAIT

DORÉ DIMITRI L’OXYMORE D’UNE LISIÈRE

L'OXYMORE D’UNE LISIÈRE

À la frontière, sur la limite, à l’extrémité, en marge, à l’orée d’un plateau… Dans la fiction de ce temps à l’arrêt.
Il porte sa voix vers une fuite vagabonde. Où s’inscrit ce passager itinérant éclaboussé par la nuit. Il s’éclipse et se glisse sur ce grain de photo Flou. Les miroirs ne renvoient que de brefs instants de lumière. Le cabaret Secret ouvre ses portes sur un piano désaccordé. Cet intervalle entre le désir, les liens et la fiction longent un chemin dédié de cette absence qui visiterait un premier ciel étoilé. À l’insu de cet élégant écart, c’est son silence… Où plutôt son sourire… Cette lisière, ce fragment d'absence, cette brillance qui interceptent cette intimité effrénée prestigieuse qui s’échappe sur le fil de la nuit d’un coup de vent invisible. À découvert d’une simple Révérence… Parsemée de cette nouvelle route qui se déverse vers L'arcane de la Vingtième et unième Lame du Tarot. Celle du Monde. Celle d’un espace qui se signe de réunir tous les possibles. Celle de la plénitude d’un champ d’immanence. Celle de délier les écrits considérables. Celle de toucher à l’extrémité d’une limite illimitée. Celle de s’ouvrir vers l’infini d’une autre dimension. Celle d’un horizon multiple qui reçoit la lumière née de l’écume de la mer. © Camille Rochwerg Le 25 Avril 2020. Pour Doré Dimitri

DORÉ DIMITRI PUBLIÉ SUR LE LIVRE PASSEURS DE LUMIÈRE

DORÉ DIMITRI BRUNO REIDAL UN FILM DE Vincent LE PORT

BRUNO REIDAL UN FILM DE VINCENT LE PORT - DORÉ DIMITRI

L'INFRANCHISSABLE PORTE OUVERTE SUR CE MONDE. L'idée d'une fenêtre définitivement close. Cet état, d'être possible dans les brumes, s'est glissé l'immensité d'un vœu, d'un crime traversé par l’appel secret d’une voix sourde dans le corps... Cet enfant assis qui regarde l’enracine-ment étendu sous le ciel d'une beauté ignorée d'une identité si inconnue de lui-même. Vérifiant l’empreinte des hommes, ce qu’il vit... Sur le fil de la perte, c'est ce secret scandé de traces dans la solitude d'une fuite. Cette quête insaisissable d'un destin fracturé enfanté. Bouleversé d'innocence et d'effacement. Où l'interdit reste visible. La seule chose qui restait à apprendre résultait par amour de rester lié, uni, consacré par cette blessure divine d'où surgirait une liberté provisoire d'oublier. D'éprouver la résistance, d'une réalité inéluctable si près de cet impossible retour. Avec Roman Villedieu, Jean-Luc Vincent, Alex Fanguin © Camille Rochwerg Le 17 Septembre 2021 L'Étrange Festival est à Forum des images.

DORÉ DIMITRI

CAMILLE ROCHWERG ivressecran@bbox.fr

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