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EN SCÈNE Yan Allegret Pages Errantes

CAMILLE EL INACHEVÉE

YAN ALLEGRET

SUR LES PAGES ERRANTES

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SUR LES PAGES ERRANTES

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YAN ALLEGRET GARE AU THÉATREYAN ALLEGRET GARE AU THÉATRE

YAN ALLEGRET GARE AU THÉATRE

JEANNE TEXTE ET MISE EN SCENE DE YAN ALLEGRET

JEANNE TEXTE ET MISE EN SCENE DE YAN ALLEGRET

MAGISTRALE EST LA PERFECTION DANS LA NUIT INALTÉRABLE
Elle a longtemps porté en elle l'instant chaviré du grand large. Jeanne se reconstruit un labyrinthe où tout ici nous invite sur l'autre rive d'une étendue de l'absence qui revient qui passe. Elle se serait réfugiée dans ce monde et ne cesse d'effleurer son identité. L'origine d'une existence, l'entité d'une solitude qui s'éclaire, de ce bleu du ciel noir épuisé par les pluies portant le numéro 715 en lumière. Ici s'immobilise une terre inhabitée de ce monde qui nous sollicite à l'étreinte d'une fureur d'écoute immobile et à l'étreinte d'une disparition. Portée en elle par l'instant, chavirée du grand large. D'un souffle qui se fissure par la transparence. En marge et si loin s'imprime le reflet immuable de cette éternité pliée, préservée après la pluie aux sons de l’orage brouillé. Persiste une respiration, le glissement d'un pas vers la quête d'une perte, d'une puissance impétueuse. L'amant d'une vie. Cette part de la conscience se dévoile. Se fige par ce détachement et l'attrait de ce grand vide. Qui l’attendait. La lumière sur le reflet de silences, à la surface de l’eau, rythme le ressac d'une étendue et d'un reflux d'hésitations ciselées avec la rigueur d'un temps qui se serait arrêté sur ce rivage. Souvent, elle se serait attardée, submergée par cet autre monde qui s'insuffle, de rompre les amarres aux multiples facettes d'où elle retrouve son propre reflet vers un paysage en écho avec ses questionnements intimes. D'où la nuit dans ce récit. D’où ce ciel de nuages, d'où elle essaie de pousser la porte de cette nuit impossible à comprendre. La peur, le désir, quelque chose pleure, de laisser passer les larmes comme on aime passer quelqu’un. Une place vacante s'est déposée en moi. Une terre en friches, la contemplation d’eux comme un paysage. Elle les regarde. ©CR le 17 8 Mai 2024 JEANNE de Yan Allegret à L'ÉCHANGEUR jusqu'au 11 MAI Texte et mise en scène Yan Allegret Avec : Julie Moulier, Olivier Constant, Yoshi Oïda, Olga Abolina Compagnie : Compagnie (&) So Weiter
YAN ALLEGRET SOLO

YAN ALLEGRET SOLO

CAHIERS DE RÉPÉTITIONS DE YAN ALLEGRETCAHIERS DE RÉPÉTITIONS DE YAN ALLEGRET

CAHIERS DE RÉPÉTITIONS DE YAN ALLEGRET

YAN ALLEGRET 

MIRACLE INFINITIF D’UN SILENCE

Lévitant sur "La brutalité et la Violence", titre emprunté d’un article écrit par Jean Genet. Yan Allegret visite l’invisibilité et l’offrande d’un plateau vide reliant les Arts Martiaux et la plénitude d’un risque funambule. Il y inscrit les prémices de son adolescence. Marche. Survole l’élégance de secrets silencieux. Si immobiles. Entre désirs d’y entrevoir les fragilités du pouvoir et la caresse de traverser l’ambition d’y réussir. 

Il s’attarde danse, virevolte, laisse entrer cette absence de gravité d’une splendeur verticale et horizontale conciliant l’âme et le cœur d’écrits en devenir. 

Il sait que le DoJo s’imprime de cet apprentissage. C’est aussi l’écart absolu de cet art qui n’est pas de restituer le visible. D’une quête inlassable sans y trouver une réponse insaisissable.

Mais plutôt ce premier silence du noir qui s’installe entre l’ouverture des lumières, les murmures de spectateurs et le cliquetis dans les cintres qui referment l’acte final d’un filtre anthracite qui s’étreint de s’obscurcir avant les applaudissements. 

Rendre lisible. L’un-lisible d’être soi. D’oublier. Inscrire la puissance. L’effacer. Restituer l’entre des gestes en état d’être atteint sur ce qui reste d’une liberté offerte. Abandonnée. Jaillissante. Fixée par l’odyssée et le rythme du sabre et du cercle sacré. Scène initiale. Rituel initiatique.

En exil ailleurs, en préface d’une parenthèse, sollicitant le destin. Il effleure, sculpte l’écoute de ce regard si impassible de Valérie Dreville murmurant son texte à l’infini. Parce qu’il n’y aurait pas de fin. Il grave le souvenir et les impulsions d’une vague pour respirer l’air et la distance du rêve chez l’illustre peintre Hokusai. 

Préserve l’indicible alerte d’une réponse, d’effleurer un état suspendu vers une perte inutile. S’y retrouver. S’élancer sur la trace d’un seuil inévitable. Esquisser de désensabler "La Route de sable " Dixit Pasolini. Et tenter d’effacer les reflets d’une conscience d’être "Qui je suis ? " De Pasolini

Une note d'intentions accrochées côté court initie le récit. D’une carte restée invisible l’arcane N°7 du tarot LE CHARIOT possédant la puissance d’un possible dépôt considérable du pouvoir sur l’expire d’explorer ce champ immanent d’une liberté immense entre mutations, métaphores et métamorphoses, qui filtrent l’abondance d’un sillon divin. Hervé Guibert l’inscrivait ainsi ce cercle de vie et d'amour "Est ce que cela se voit dans les yeux? » ©Camille Rochwerg le 18 Mai 2022

Le Solo Arts Martiaux (titre provisoire) Une conférence Interprétée par Yan Allegret sur une invitation du Nouveau Gare au Théâtre au Grand Parquet Les figures d’Akira Kurosawa, Morihei Ueshiba, Jigoro Kano, Hacine Chérifi, Musashimaru, Masamichi Noro, Mike Tyson et Royce Gracie rencontrent Euripide, Shakespaere, Claude Regy, Zeami et Antoine Vitez

YAN ALLEGRET UN LIVRE UNE LECTURE JEANNE

YAN ALLEGRET UN LIVRE UNE LECTURE JEANNE

YAN ALLEGRET SEUL EN SCÈNE

YAN ALLEGRET SEUL EN SCÈNE

YAN ALLEGRET L'EXCEPTION D'UN INFINITIF ÉLOGE - NEIGES

YAN ALLEGRET L'EXCEPTION D'UN INFINITIF ÉLOGE - NEIGES

YAN ALLEGRET PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE
YAN ALLEGRET PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

YAN ALLEGRET PUBLIÉ SUR LE LIVRE EXONÉRÉE

YAN ALLEGRET

YAN ALLEGRET

SUR LES PAGES ERRANTES DE YAN ALLEGRET 

L’ALTÉRATION D’UN TRACÉ PERSISTE

Je retiens, « le terme de mouvement » Le silence d’une évidence « Ne dis rien. Face à face avec l’endroit. Jauge les forces, les tiennes, celles de la pièce. Ne dis rien de ce que tu pressens. N’écris rien. Laisse venir. » Y.A Je retiens, une danse de l’instinct saisit au gré de l’inconstance d’un temps de “passage soulignant la faille”… Où l’interstice de cette élégance souligne un texte de l’effacement et d’une prière de consécration. Parsemé sur le plateau d’un silence ou Le temps de l'oeuvre survit à l'influence d'une singulière aptitude à révéler l'efficience d'un rituel ... « D’une présence à la mort » portée par l’origine d’un tracé qui se signe d’un entre-temps qui s’efface s’efface… Comme résister à cet envoûtement qui symbolise seulement la vie. Laissant miroités les reflets du visible – Dont la puissance de l’écriture exhume les rites de l’évitement sublime de la peur. “D’une solitude de l’âme” comme une réconciliation qui purifie les lieux et les êtres sous les masques. Il nous faut se faufiler sur l’écoute qui murmure les territoires du verbe infertile IMMENSÉMENT innombrables et invulnérables qui se délivrent. Une fiction de l’écho de ce temps arrêté tresse alors l’univers d’une part de lumière vers l’ombre en glissant subtilement sur l’énigme du grain de la voix; sur les noirs; sur les gris de passage vers le blanc; vers la NEIGE. Alors les sonorités d’une musique en déflagration élaguent l’instant pétrifié d’un palimpseste silencieux. © Camille Rochwerg Jan 2010

EN SCÈNE Yan Allegret Pages Errantes
CAMILLE EL INACHEVÉE ivressecran@bbox.fr

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YAN ALLEGRET

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